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  • La Bretagne ne reconnaît pas l'annexion de la Crimée par l'Ukraine

     

    Crimée russe, mais ou est l'indignation? Neil Clark
     
    Le Gouvernement Provisoire de Bretagne en exil "Gouarnamant Breizh da C'hortoz", a déclaré lundi : "La Bretagne est attachée à la souveraineté de la Russie dans ses frontières reconnues" 
    • Cela va faire 18 mois que la Crimée par un vote référendaire à décidé à + de 90% de rejoindre la Russie, par une "annexion volontaire", comme l'Allemagne de l'Est séparée de 1945 à 1989 rejoindra volontairement la BRD, la Crimée fut de 1954 à 2014 donnée à l'Ukraine (*), mais même à Berlin, on parlera d'annexion, Merkel en premier, elle qui vient de l'est de l'Allemagne, incroyable ce que les pressions politiques peuvent faire. 

     

    • (*) La Crimée et Sébastopol ont été rattachés à la Russie à la suite d'un référendum tenu en mars 2014. 96,77% des Criméens et 95,6% des habitants de la ville de Sébastopol (ville criméenne avec un statut particulier) ont voté pour le rattachement à la Russie. La péninsule avait été "offerte" à l'Ukraine par Nikita Khrouchtchev en 1954. Aujourd'hui, l'Ukraine continue de considérer ce territoire comme le sien. La majorité des pays occidentaux soutiennent la position de Kiev et ont introduit des sanctions antirusses en 2014.

     

  • Mor Breizh redeviendra à la fois le symbole et le chemin de l’alliance entre les Nations Celtes!

     

     

    Sans la révolte des Bretons de l’île de Sein, le 24 juin 1940, et l’épopée de ces hommes partis en masse rejoindre Londres quelques jours après l’appel du 18 juin, la France ne serait pas dotée du régime qui est le sien à l’heure actuelle et qui légitime l’élection de son 8ème Président de la République.

    Vous connaissez, depuis cette révolte, le sort que fut le nôtre.

    Le droit français ne nous a pas permis de trouver notre place, en tant que communauté, au sein de la Nation française comme nous le désirions ardemment.

    Aucun des engagements des 7 premiers Président de la République française n’a été tenu, en ce qui nous concerne.

    Nous devons donc nous diriger vers le Droit International pour obtenir notre reconnaissance en tant que Peuple et prendre en main notre Destin (Rappel discours de De Gaulle à Kemper… ).

    La Convention de Montevideo du 26 décembre 1933, nous permet de créer notre État, sans que personne ne puisse s’y opposer et sans que sa légitimité ne soit remise en cause par quiconque.

    Nous nous sommes procurés le texte de cette Convention Internationale.

    Voici ce que la Convention stipule: Dans son article 1er; l’État comme Personne de Droit International doit réunir les conditions suivantes:
    1- une Population permanente.
    2- Un territoire déterminé.
    3- Un gouvernement.
    4- Une capacité d’entrer en relations avec les autres États.
    Dans son article 3: l’existence politique de L’État est indépendante de sa reconnaissance par les États. Même avant d’être reconnu, L’État a:
    – le droit de défendre son intégrité et son indépendance,
    – de pourvoir à sa conservation et à sa prospérité et, par conséquent,
    – de s’organiser comme il l’entendra,
    -de légiférer sur ses intérêts,
    -d’administrer ses services et
    – de déterminer la juridiction et la compétence des tribunaux.

    L’exercice de ces droits n’a d’autres limites que celles de l’exercice des droits des autres Etats conformément au Droit international.

    Notre feuille de route est donc tracée sachant que nous avons la ferme intention de réécrire l’histoire de notre Peuple. Cette feuille de route passe par la création de structures financières et politiques qui permettront le fonctionnement et les investissements nécessaires afin de libérer notre territoire.

    A la fin de l’année 2018, l’Etat National Breton aura rempli les conditions fixées par l’article 1er de la Convention de Montevideo et sera libre et souverain.

    Les engagements que prend notre Gouvernement prouvent sa détermination et sa vocation à faire en sorte que nos enfants enracinent définitivement le Peuple Breton et lui donne la maîtrise totale de son destin : Celte et Breton.

    Les Bretons membres de ce Gouvernement sont heureux de compter à leurs côtés des frères Celtes issus de peuples venus des rives de ce lac intérieur – Mor Breizh – d’une civilisation qu’ils partagent.

    Nous reprenons avec ferveur le sentiment invincible de la fraternité qui unissait jadis nos pères.
    Puisse notre action faire en sorte que la Mor Breizh redevienne à la fois le symbole et le chemin de l’alliance entre les Nations Celtes!

    Rien de ce qui sera alors Celte ne pourra et ne devra nous être étranger.

  • PAS DE LIBERTÉ POUR LES ANTI- JACOBINS !

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    Quatre ans de prison ferme requis, pour avoir seulement exprimé ses opinions sur un site nationaliste ? Diable ! Dans quel monde vivons-nous ? De façon paradoxale, dans celui du pays des Droits de l’homme qui proclament le droit fondamental à la liberté d’expression.

    Une peine, une sanction digne des pires crapules … Pour s’être fait le porte-parole de ce peuple silencieux, à qui l’on impose sans l’avoir consulté, une politique de remplacement de population , par des jets continus de migrants clandestins ne partageant en rien nos mœurs, notre culture et notre tempérament.

    Boris Le Lay peut se targuer aujourd’hui d’être la victime expiatoire de cette politique cosmopolite et française, qui entend terminer le travail d’anéantissement entrepris par les politiciens républicains de jadis, après l’éradication de notre foi ancestrale et la destruction de notre langue nationale.

    Nous savons ce que recouvrent les qualifications pénales du genre « Incitation à la haine raciale », « Provocation à la discrimination », destinées à interdire tout débat sur la question de l’immigration, et provoquer l’autocensure chez les esprits libres qui n’entendent pas avaler des couleuvres. Tout cela, au nom d’une philosophie universaliste qui n’a jamais fait les affaires des autochtones, mais toujours celles des cosmopolites.

    Nous savons ce que valent les condamnations pour ce motif, qui n’épargnent personne, ni même des prélats ayant servi toute leur vie durant, des populations africaines, comme Mgr Lefebvre quand celui-ci alerta ses contemporains sur les dangers de l’islam conquérant.

    Quant à l’auteur de l’article du quotidien « Ouest-France » du 8 juin, qui déclare « Boris Le Lay aura-t-il un jour le courage de ses opinions » ? On peut lui rétorquer que, quel que soit l’avis que l’on porte sur les écrits de Boris Le Lay, celui-ci a le courage d’exprimer ses opinions publiquement, ce qui lui vaut des condamnations qui, elles, ne seront jamais amnistiées, et une interdiction de revoir sa terre natale sous peine d’emprisonnement, c’est-à-dire un tribut que peu de personnes consentiraient à payer.

    Pour quelle raison d’ailleurs Boris Le Lay devrait-il se présenter devant les Tribunaux, quand il sait que son sort est déjà réglé d’avance ? Aller mettre sa tête dans la gueule du loup socialo-jacobin, quel serait le profit pour lui-même et la cause du peuple qu’il défend ? De surcroit, ce serait reconnaître la légitimité d’une institution française que l’accusé dénie autant par principe que par cohérence, dans ses écrits successifs.

    C’est aussi courir le risque d’une mort opportune dans les prisons françaises peuplées de djihadistes affirmés ou en devenir. Et, c’est lui interdire de continuer à exprimer ce que de plus en plus de Bretons pensent tout bas aujourd’hui. Ce serait tout bénéfice pour ses adversaires politiques qui sont aussi les nôtres.

    Drôle d’époque, tout de même, où il vaut mieux être un fiché S qu’un blogueur nationaliste breton.

    Vive la Bretagne, quand même !

    Jakez GWILLOU