Quatre ans de prison ferme requis, pour avoir seulement exprimé ses opinions sur un site nationaliste ? Diable ! Dans quel monde vivons-nous ? De façon paradoxale, dans celui du pays des Droits de l’homme qui proclament le droit fondamental à la liberté d’expression.
Une peine, une sanction digne des pires crapules … Pour s’être fait le porte-parole de ce peuple silencieux, à qui l’on impose sans l’avoir consulté, une politique de remplacement de population , par des jets continus de migrants clandestins ne partageant en rien nos mœurs, notre culture et notre tempérament.
Boris Le Lay peut se targuer aujourd’hui d’être la victime expiatoire de cette politique cosmopolite et française, qui entend terminer le travail d’anéantissement entrepris par les politiciens républicains de jadis, après l’éradication de notre foi ancestrale et la destruction de notre langue nationale.
Nous savons ce que recouvrent les qualifications pénales du genre « Incitation à la haine raciale », « Provocation à la discrimination », destinées à interdire tout débat sur la question de l’immigration, et provoquer l’autocensure chez les esprits libres qui n’entendent pas avaler des couleuvres. Tout cela, au nom d’une philosophie universaliste qui n’a jamais fait les affaires des autochtones, mais toujours celles des cosmopolites.
Nous savons ce que valent les condamnations pour ce motif, qui n’épargnent personne, ni même des prélats ayant servi toute leur vie durant, des populations africaines, comme Mgr Lefebvre quand celui-ci alerta ses contemporains sur les dangers de l’islam conquérant.
Quant à l’auteur de l’article du quotidien « Ouest-France » du 8 juin, qui déclare « Boris Le Lay aura-t-il un jour le courage de ses opinions » ? On peut lui rétorquer que, quel que soit l’avis que l’on porte sur les écrits de Boris Le Lay, celui-ci a le courage d’exprimer ses opinions publiquement, ce qui lui vaut des condamnations qui, elles, ne seront jamais amnistiées, et une interdiction de revoir sa terre natale sous peine d’emprisonnement, c’est-à-dire un tribut que peu de personnes consentiraient à payer.
Pour quelle raison d’ailleurs Boris Le Lay devrait-il se présenter devant les Tribunaux, quand il sait que son sort est déjà réglé d’avance ? Aller mettre sa tête dans la gueule du loup socialo-jacobin, quel serait le profit pour lui-même et la cause du peuple qu’il défend ? De surcroit, ce serait reconnaître la légitimité d’une institution française que l’accusé dénie autant par principe que par cohérence, dans ses écrits successifs.
C’est aussi courir le risque d’une mort opportune dans les prisons françaises peuplées de djihadistes affirmés ou en devenir. Et, c’est lui interdire de continuer à exprimer ce que de plus en plus de Bretons pensent tout bas aujourd’hui. Ce serait tout bénéfice pour ses adversaires politiques qui sont aussi les nôtres.
Drôle d’époque, tout de même, où il vaut mieux être un fiché S qu’un blogueur nationaliste breton.
Vive la Bretagne, quand même !
Jakez GWILLOU