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LA REPENTANCE, UNE MALADIE FRANCAISE

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Calais 1347 Les bourgeois apportent les clés de la ville au roi d'Angleterre

Les 16 et 17 octobre derniers, un nouvel acte de repentance nous a été infligé. C’était pour le soixantième anniversaire fellagha d’un prétendu massacre d’Algériens à Paris. Une énième repentance pour bien ancrer dans l’esprit de chacun, que nous sommes de parfaits salauds. Et donner ainsi du grain à moudre aux associations antiblanches et aux communautés extra-européennes qu’on nous impose.    

Dans cette séance d’autoflagellation, le maitre d’œuvre n’était autre - mais est-ce vraiment une surprise - que l’ex gérant associé de Rothschild qui trône sur le siège présidentiel. On appréciera, à ce propos, sa formule « élyséenne » : « Crimes inexcusables POUR la République » !!! Merveilleuse sémantique destinée à laisser immaculée l’image de notre République. Car il ne saurait y avoir de « crimes DE la République » !

A l’évidence, Macron ignore que la France était en guerre à cette époque. Qu’une cinquième colonne du FLN assassinait et perpétrait des attentats quotidiennement à la fois sur le sol métropolitain et algérien (de 1955 à 1962 : 10 223 attentats, 6 000 assassinats d’Algériens opposés au FLN, etc…).  Et surtout qu’AUCUN massacre n’a été commis le 17 octobre 1961. De la pure légende !  Comme l’atteste le rapport d’une Commission d’enquête constituée en 1998 par le Premier ministre Jospin qui concluait à la mystification.

Macron est bien à l’image de ces misérables plumitifs du Système, qui déversent à plaisir leur fiel sur l’identité de nos peuples. Comportement des plus indignes (Cf. le scandaleux communiqué officiel paru le 16/10/2021 sur le Site Web de l’Elysée). Mais le chouchou du pouvoir médiatique et bancaire n’était pas à son premier coup d’essai.  Déjà, en février 2017, Il s’était illustré lors d’un voyage en Algérie, en déclarant que « La colonisation est un crime contre l’humanité », « une vraie barbarie (qui) fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses… ». Ce qui a dû faire s’étrangler de rage, les défuntes figures de la IIIe république, championnes de l’expansion coloniale. Notamment le « frère » Jules Ferry qui affirmait qu’« Il y a pour les races supérieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures." (Sic).

La repentance collective n’est pas une nouveauté

Ce besoin exécrable de culpabiliser les peuples de l’Hexagone pour leur faire accepter la submersion migratoire et le métissage généralisé, n’est malheureusement pas nouveau. Jacques Chirac, dans son discours du 16 juillet 1995, sur la rafle du Vel d’Hiv des 16 et 17 juillet 1942, avait proclamé la responsabilité de la France – c’est-à-dire de nos parents et grands-parents - dans les déportations de Juifs. Tous coupables, comme le laisse entendre Bernard-Henri Levy dans ses écrits (cf. son livre haineux « L’idéologie française »). Avec cette liberté de ton qui lui est permis, mais qui nous est refusée par une législation liberticide.    

Lors de son second septennat, Chirac qui affectionnait tant les Arts primitifs (Arts premiers, en novlangue), avait récidivé, cette fois, sur la traite et l’esclavage. Et une journée nationale du souvenir était instituée par décret du 31 mars 2006. Journée commémorative qui permet désormais au personnel de l’Education nationale d’en rajouter sur la responsabilité de nos ancêtres. Tout en minorant cette pratique odieuse (que Voltaire approuvait) et sa dimension inégalée chez les peuples non-Européens.

Avec ces derniers « Présidents », on cultive-là une psychopathologie collective : l’ethnomasochisme. C’est-à-dire la REPENTANCE A GEOMETRIE VARIABLE en fonction de la nature des victimes. Car cette repentance n’est exercée qu’au profit des allochtones. Jamais à l’égard des peuples enracinés de l’hexagone. Entre autres exemples, celui du Peuple breton. Ses griefs pourtant nombreux, abondent. Pourtant, l’Etat républicain reste dans le négationnisme le plus absolu pour les crimes commis contre le Peuple breton sous la Révolution bourgeoise de 1789 et pour les années particulièrement sanglantes de 1943-1944.  Même attitude pour les multiples exactions perpétrées par l’Etat capétien pour la période allant de 1499 à 1789. Or, ce que les Bretons non reniés demandent, c’est la reconnaissance des faits historiques tels qu’il se sont déroulés. Sans acte de contrition, ni pleurnicherie, ni réparations financières. Le Breton non renié ne marchande pas le prix de ses morts. C’est étranger à son tempérament, sa morale et à sa culture.

Ni repentance, ni excuses 

La repentance collective, nous la refusons en bloc. Aucune excuse, aucune repentance ne saurait, en quoi que ce soit, modifier la matérialité des faits et le sort des victimes. De surcroit, une repentance ne saurait être qu’INDIVIDUELLE. Et ne concerner que les auteurs de faits incriminés. En aucun cas, leurs compatriotes, encore moins leurs descendants. Sinon, c’est refaire sans cesse le procès de n’importe quelle communauté. Accepter la notion de « faute collective », c’est faire retour à la barbarie. Qui oserait reprocher aux Juifs d’aujourd’hui d’être les responsables des multiples persécutions antichrétiennes commises par leurs pères durant les quatre premiers siècles de l’ère chrétienne ? Qui oserait faire le même procès aux populations musulmanes d’aujourd’hui pour les massacres de peuples conquis et l’effacement brutal de civilisations commis par leurs aïeux ?  Mais quand il s’agit de l’Homme blanc, du Chrétien à fortiori s’il est Catholique, alors là, tout est permis dans notre République égalitariste et laïque. 

Face à cette République française dont l’universalisme nous rabaisse constamment   au profit des allogènes, une riposte s’impose. Pour les Bretons non reniés, la seule voie de salut qui s’offre à eux, est celle du Nationalisme breton, de l’Etat national breton et de la Révolution conservatrice bretonne. Pourquoi ?   

Parce qu’en redevenant « Maîtres chez nous ! », nous mettrons fin au Grand Remplacement voulu par l’oligarchie mondialiste. La démocratie organique bretonne se substituera à la démocratie virtuelle française. Et nous retrouverons ainsi notre dignité de peuple car aucune repentance collective ne sera tolérée. Rappelons, à ce propos, que battre sa coulpe est le symptôme manifeste des peuples décadents. Il est donc hors de question, de rejoindre les rangs des pleureuses qui se vautrent dans le registre victimaire.

Les Bretons non-reniés redeviendront des Bretons redressés, ou disparaitront.

Jakez GWILLOU ( 1er novembre 2021)  

En mémoire aux victimes de l’insurrection sanglante de la Toussaint rouge de 1954.    

Commentaires

  • Je découvre tout juste votre blog et je souscris totalement à votre analyse sur le sujet.

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