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Vous avez raison, M. RYSSEN d'affirmer que la république ne favorise pas l'islamisme radical sur le sol français. Cependant, elle promeut adroitement l'islam qui est la matrice idéologique de la dérive meurtrière de ceux que les médias aux ordres nous présentent pour des dérangés mentaux.
On pourrait d'ailleurs s'étonner d'un tel favoritisme envers l'islam, au regard de la guerre sanglante que la république a jadis menée contre le catholicisme sous la révolution française et sa politique d'étranglement qu'elle a poursuivie sous la 3éme ! Ce serait ignorer l'essence même de notre république hexagonale, œuvre exclusivement maçonnique, qui, par ses principes universalistes et la détention des postes clés par ses initiés, entend détruire tout ordre naturel. D'où sa haine inextinguible de la religion catholique, des traditions ancestrales, des peuples enracinés....
Rien n'est le fait du pur hasard. Encore faut-il prendre la peine de s'informer ailleurs que dans les colonnes de nos journaux archi subventionnés.
La république française est jalonnée de scandales comme celui de Panama et de troubles comme les grèves de Carmaux, les attentats anarchistes ou les embarras du Trésor mais toujours le Grand Orient de France rappelle, comme lors de son convent de 1919, qu’ « au-dessus des gouvernements qui passent, la maçonnerie, armature du régime, demeure ».
L’affaire Stavisky ébranle le régime en 1934-35 : « Des francs-maçons honnêtes furent les premiers à s’émouvoir de ce nouveau scandale. Plusieurs exprimèrent leurs états d’âme, au cours de réunions maçonniques, contre les malfaiteurs que les loges abritaient. L’un deux, Jean Barles, prit même position dans le journal Le Var : « Le fait que, dans l’affaire Stavisky, presque tous les inculpés, pour ne pas dire tous, avaient été admis à l’initiation, a douloureusement frappé et surpris les adhérents idéalistes et sincères (…) L’extension donnée en toutes circonstances au principe d’entraide a fait trop de passe-droit et d’injustices : elle a couvert trop d’actions blâmables ; elle a soustrait trop de coupables aux justes lois, en quelques circonstances même, l’entraide mal entendue a trop pris la forme d’une complicité. »
Une épuration s’ensuivit au sein de la franc-maçonnerie et le parti radical prononça l’exclusion de ses membres parlementaires les plus compromis. L’extrême-droite tenta de faire interdire la franc-maçonnerie – elle y parviendra sous le régime de Vichy – et l’éclipse se prolongera après la Libération.
Après l’élection de François Mitterand en mai 1981, « la franc-maçonnerie française vivra une nouvelle proximité avec le pouvoir politique d’une intensité comparable à celle du début du XXe siècle » - Roger Leray, grand maître du Grand Orient de France put même écrire dans le quotidien Le Monde le 13 août 1981 que « les projets du gouvernement correspondent à la sensibilité des francs-maçons du grand Orient de France ».
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Vous avez raison, M. RYSSEN d'affirmer que la république ne favorise pas l'islamisme radical sur le sol français. Cependant, elle promeut adroitement l'islam qui est la matrice idéologique de la dérive meurtrière de ceux que les médias aux ordres nous présentent pour des dérangés mentaux.
On pourrait d'ailleurs s'étonner d'un tel favoritisme envers l'islam, au regard de la guerre sanglante que la république a jadis menée contre le catholicisme sous la révolution française et sa politique d'étranglement qu'elle a poursuivie sous la 3éme ! Ce serait ignorer l'essence même de notre république hexagonale, œuvre exclusivement maçonnique, qui, par ses principes universalistes et la détention des postes clés par ses initiés, entend détruire tout ordre naturel. D'où sa haine inextinguible de la religion catholique, des traditions ancestrales, des peuples enracinés....
Rien n'est le fait du pur hasard. Encore faut-il prendre la peine de s'informer ailleurs que dans les colonnes de nos journaux archi subventionnés.
La république française est jalonnée de scandales comme celui de Panama et de troubles comme les grèves de Carmaux, les attentats anarchistes ou les embarras du Trésor mais toujours le Grand Orient de France rappelle, comme lors de son convent de 1919, qu’ « au-dessus des gouvernements qui passent, la maçonnerie, armature du régime, demeure ».
L’affaire Stavisky ébranle le régime en 1934-35 : « Des francs-maçons honnêtes furent les premiers à s’émouvoir de ce nouveau scandale. Plusieurs exprimèrent leurs états d’âme, au cours de réunions maçonniques, contre les malfaiteurs que les loges abritaient. L’un deux, Jean Barles, prit même position dans le journal Le Var : « Le fait que, dans l’affaire Stavisky, presque tous les inculpés, pour ne pas dire tous, avaient été admis à l’initiation, a douloureusement frappé et surpris les adhérents idéalistes et sincères (…) L’extension donnée en toutes circonstances au principe d’entraide a fait trop de passe-droit et d’injustices : elle a couvert trop d’actions blâmables ; elle a soustrait trop de coupables aux justes lois, en quelques circonstances même, l’entraide mal entendue a trop pris la forme d’une complicité. »
Une épuration s’ensuivit au sein de la franc-maçonnerie et le parti radical prononça l’exclusion de ses membres parlementaires les plus compromis. L’extrême-droite tenta de faire interdire la franc-maçonnerie – elle y parviendra sous le régime de Vichy – et l’éclipse se prolongera après la Libération.
Après l’élection de François Mitterand en mai 1981, « la franc-maçonnerie française vivra une nouvelle proximité avec le pouvoir politique d’une intensité comparable à celle du début du XXe siècle » - Roger Leray, grand maître du Grand Orient de France put même écrire dans le quotidien Le Monde le 13 août 1981 que « les projets du gouvernement correspondent à la sensibilité des francs-maçons du grand Orient de France ».