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A NOS HEROÏQUES BRETONS, QUI ONT LA TROUILLE DE SEULEMENT DIRE LA VERITE. SURTOUT NOS DEPUTEUX ET NOS SENATEUX !!!

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Héros bretons adulés en Bretagne

LA SHOAH BRETONNE (1793 – 1794) : COMMENT LES BRETONS SONT DEVENUS FRANCAIS : ce que les Bretons doivent aux armées françaises, en 1793 et en 1794.

Parmi les centaines de témoignages qui ont été consignés par les acteurs et les témoins du temps, j’extrais celui-ci, à titre de piqûre de rappel.
Savez-vous que chaque année, des Nantais organisent une cérémonie du souvenir sur les lieux où les crimes ont été commis ? Ils se réunissent sur les bords de la Loire, et jettent des fleurs dans la rivière. JAMAIS ON N’A VU LE MOINDRE DEPUTEU ni LE MOINDRE SENATEU DANS CES CEREMONIES. M.M. Ayrault, Le Drian et autres sont chaque année invités.

Rassurez vous : je ne vous épargnerai pas les autres témoignages : le monde entier doit savoir cela, et l’indignité dont nous sommes frappés d’avoir des « élus » de cet acabit . Transmettez, je vous prie, aux héros de la municipalité :

« Si toutes les femmes prises ne sont pas brûlées, elles trouvent, en tous cas, un emploi : les plus vulgaires appartiennent aux soldats, les plus belles aux officiers. Moins raffiné, le général Commaire marque une préférence pour les vivandières … Dans les métairies, les femmes sont prises devant leurs maris expirants … Une citoyenne est la conquête commune de l’état-major de
l’armée; une autre appartient à trente soldats ….. Des malheureuses, qui espèrent par le déshonneur subi avoir évité la mort, sont fusillées nues … Des femmes sont souillées dans leurs cadavres… Le viol est la récompense du soldat » (Gabory, pages 350 et 351).

« Le général Huché, monomane du crime, toujours à demi ivre, se repaît des spasmes d’agonie …Il se donne le passe temps » de voir rouler jusqu’au bas d’une côte escarpée des femmes fusillées sur la pente, pour rire des accidents de leur chute « . Ses soldats portent des enfants embrochés sur leurs baïonnettes; ils en brûlent d’autres dans leurs berceaux « (Gabory, pages 350 et 351).
(A suivre).

Pouvez vous me dire à quoi ressemblent les jérémiades de messieurs Molac et Lefur, sur la langue bretonne, lorsqu’on évoque ces horreurs ?

J’adresse ceci aux intéressés, et demande à nos amis Suisses, Canadiens, Berbères, Catalans, Savoisiens  ….. de publier ce bref article. Sans oublier nos médias bretons, héroïques, très au courant aujourd’hui, mais toujours aussi mutiques. Sans oublier M. Mélenchon, qui achève sa rééducation.
Vive le pays des DOIGTS DE L’HOMME !!!

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