Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Une seule solution pour les migrants : « le retour au pays »

     
            Ça y est, la nouvelle est tombée le 13/09/16 : un document confidentiel du Ministère de l'intérieur concernant le démantèlement de la Jungle de Calais vient d'être rendu public par le Figaro : "Le schéma de mobilisation des places d'hébergement sur l'ensemble du territoire a été validé", annonce ce document. Dans les faits, cela signifie que partout en France, des CAO (Centres d'Accueil et d'Orientation) vont devoir être créés pour accueillir toujours plus de migrants.
     
            Les places à créer devront être nombreuses, pour désengorger la "jungle" de Calais, afin de répartir les clandestins  (de 7 000 à 18 000 selon les sources) sur l'ensemble du territoire.  Au total, d’après Cazeneuve, 12 000 places sont à trouver en France.  Sur l'ensemble du territoire ? Pas si sûr ! Selon les informations du Figaro, deux exceptions sont toutefois à noter dans la répartition : la région Ile-de-France déjà lourdement empêtrée sur la question de l'hébergement des migrants, et la Corse. Selon l'analyse du quotidien national, le gouvernement tient compte des récents événements survenus sur l’Île de Beauté, et notamment l'épisode du saccage d'une salle de prière musulmane à Ajaccio et la rixe autour du burkini à Sisco. Rappelons que le burkini, le voile ou la burka, contrairement à ce que veulent nous faire avaler les islamo-gauchistes, ne sont pas de simples morceaux de tissu, mais des étendards de ralliement à l'islamisme. Les Corses ont compris ça! Comme quoi si l'on veut être pénard, rien ne vaut un bon trouble à l'ordre public.
     
            Pour l'heure, les préfets sont en attente d'une liste des sites qui pourront être mobilisés pour faciliter l'accueil.  Il s'agit notamment "des centres gérés par des grandes entreprises publiques ou des groupes de tourisme social". "La liste devra être remontée sans que soit au préalable recherché l'accord avec des élus locaux" (sic), indique le document ministériel adressé aux préfets. Ce mardi, sur France Inter dans la matinale de Patrick Cohen, on a pu entendre le maire d'une commune de 2500 habitants qui voulait organiser un référendum sur l'obligation faite par le préfet d'accueillir 70 migrants. Le préfet rétorquait que le référendum était illégal parce que “cette question n'était pas une affaire communale “ (Quand va t-on se débarrasser enfin des préfets ? Cette institution ringarde que le monde entier ne nous envie pas...).
     
            La région Bretagne devra accueillir 600 migrants. Si on y ajoute la Loire Atlantique puisque Nantes est bretonne, ce sont 150 migrants supplémentaires à accueillir. 
           
            Une bonne nouvelle –il était temps- : la droite parlementaire en région semble se lever contre la dissémination de la jungle le Calais. On se souvient de la réaction, la semaine dernière, de Forges-les-Bains, cette petite ville de 4000 habitants de l'Essonne, où, à la suite d'une réunion houleuse, le futur Centre d'Accueil des Migrants était incendié. Dans un communiqué la municipalité, sans étiquette, expliquait que ”la commune n'avait pas été consultée” pour l'ouverture du centre et assurait subir un diktat de l'État.
     
            Le pouvoir socialiste qui voit se profiler à l'horizon la débâcle électorale de 2017 prend, chaque jour un peu plus, une posture autoritaire, voire dictatoriale, très éloignée de son discours lénifiant droit de l'hommisteLe Gouvernement Provisoire de Bretagne invite les maires à utiliser tous les recours juridiques face aux oukases préfectoraux, et à ne pas hésiter à se tourner vers la population en organisant des consultations locales. N'oublions jamais que nous sommes la majorité et qu'aucun compromis n'est négociable pour la survie du peuple breton…
     
    Pas de mini-jungle de Calais chez nous!     
    Une seule solution pour les migrants : le retour au pays!

  • Le Gouvernement Provisoire Kabyle

    7551141-11652771.jpg

    Drapeau officiel de la Kabylie

     

    La Kabylie est habitée par une population dynamique et pacifique qui fait de la liberté la valeur la plus sacrée de son existence.

    Je souhaiterais rendre hommage au travail des militants de Kabylie.

    Le Gouvernement Provisoire de Kabylie est l’âme du renouveau, l’avant-garde de la liberté, « Force d’écoute et de proposition », il est aussi un lieu de réflexion et de débat.

    Le Gouvernement Provisoire de Bretagne entend nouer des relations avec le Gouvernement Provisoire de Kabylie, dans le cadre des « grandes ambitions » de nos nations respectives, à savoir l’égalité des chances, la justice sociale, la mutation de nos économies, etc..

    Je souhaiterais m’adresser à nos compatriotes Bretons résidant à l'étranger qui consacrent une partie de leur temps à militer pour une Bretagne libre. Malgré l’éloignement et des conditions parfois difficiles, je les encourage à continuer d'échanger des idées et informations avec nos amis Kabyles.

    Ce dialogue sera utile pour se mobiliser en vue de l’unification du peuple breton et du peuple kabyle. 

     

    Claude Guillemain

    Président

    Gouvernement Provisoire de Bretagne

     

    « Du temps de la France, l’Algérie, c’était le paradis ! »

    Dans le numéro 248 (juin 2005) de la revue Ensemble, organe de l’Association culturelle d’éducation populaire, Hocine Aït Ahmed a déclaré : « chasser les pieds-noirs a été plus qu’un crime, une faute car notre chère patrie a perdu son identité sociale ». Il ajoutait : « N’oublions pas que les religions, les cultures juives et chrétiennes se trouvaient en Afrique bien avant les arabo-musulmans, eux aussi colonisateurs, aujourd’hui hégémonistes. Avec les pieds-noirs et leur dynamisme – je dis bien les pieds-noirs et non les Français -, l’Algérie serait aujourd’hui une grande puissance africaine méditerranéenne. Hélas ! Je reconnais que nous avons commis des erreurs politiques et stratégiques. Il y a eu envers les pieds-noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l’Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens ». « Du temps de la France, l’Algérie, c’était le paradis ! ».

    Le 23 décembre 2015, Hocine Aït Ahmed meurt à Lausanne, en Suisse, à l'âge de 89 ans. Il est enterré le 1er janvier dans son village natal, conformément à ses dernières volontés. Il était le dernier membre encore en vie des neuf « fils de la Toussaint », les chefs ayant déclenché la guerre d'Algérie.