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  • DROITS DE L’HOMME : LES TEXTES DE LOUIS MELENNEC SUR LES PRETENDUS DROITS DE L’HOMME PRETENDUMENT INVENTES PAR LA FRANCE.

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    DROITS DE L’HOMME : LES TEXTES DE LOUIS MELENNEC SUR LES PRETENDUS DROITS DE L’HOMME PRETENDUMENT INVENTES PAR LA FRANCE.

    commentaires 


    LA FRANCE DES DOIGTS DE L'HOMME DEFINITIVEMENT DEMASQUEE. Louis Mélennec


    QUELQUES HEROS FRANCAIS ET BRETONS. 

    Nicolas Sarkosy (prix d’excellence, hors concours tous azimuts) : «  La France n’a pas inventé la solution finale ; la France a inventé les droits de l’homme ». (2007).
    Oubli fâcheux : La France avait ordonné la mise à mort de toute la nation vendéenne, et, cela étant fait, de toute la nation bretonne. (Source : Reynald Secher).

    Jean-Yves Le Drian : ex-aequo : il interdit le drapeau breton dans une cérémonie dans laquelle on célèbre la mémoire des 150 000 bretons sacrifiés dans la première guerre mondiale. 
    Hollande, qui a fait sa carrière, lui a dit : n’y vas pas ; qu’a-t-il fait ? il est allé chez Macron.
    Les Bretons lui ont dit : « ne vendez pas des armes à l’Arabie, elles vont servir à tuer des femmes, des enfants, des chrétiens ». Qu’a-t-il fait ?

    LES PIRES ENNEMIS DES BRETONS ONT ETE DES BRETONS. Par carriérisme, par avidité, par jalousie, par SOTTISE. Leur instinct d’auto-destruction a été plus fort que l’action destructrice de la France.

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    En Août 2021, les commentaires de Louis Mélennec sur les droits de l'homme sont mystérieusement réapparus sur la toile. Ils avaient été censurés.
    Louis Mélennec est l'auteur qui a détruit définitivement la légende stupide de l'invention des droits de l'homme par la France.


    Eric Dupont-Moretti (2020 : "La France n'est plus le pays des droits de l'Homme", déplore Me Eric Dupond-Moretti.
    Invité par Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Me Eric Dupond-Moretti a déploré que la France ne soit plus le pays des droits de l'Homme. "La Cour européenne de sauvegarde des droits de l'Homme condamne régulièrement la France, le pays le plus condamné après la Turquie", a exposé le célèbre avocat pénaliste, qui ajoute que "toutes les avancées en matière de libertés individuelles nous viennent de Strasbourg". Selon lui, la France n'est plus que "le pays des droits de l'Homme à l'exportation".

    Réponse de Louis Mélennec : la France n’a JAMAIS été le pays des droits de l’homme. Elle n’a JAMAIS connu la démocratie. Nous, Bretons, nous savons que sa vocation a été de faire la guerre, de coloniser, de mentir, et de ne jamais respecter ses engagements.

    25 commentaires
    Louis Melennec

    LES DROITS DE L'HOMME NE SONT NI DE PRES NI DE LOIN UNE CONQUÊTE DE LA FRANCE.  En réalité, ces beaux principes restent lettre morte, et ne reçoivent guère qu'un timide début d'exécution après avoir été proclamés le 26 août 1789 : sur le terrain : massacres, vols, viols, exécutions sommaires sans jugement, destructions de milliers d'oeuvres d'art, saccages de toutes natures  ... UNE HONTE POUR L'HUMANITE, dans son entier. 
    Dans l'histoire des droits de l'homme, la France est non pas la première à les avoir énoncés, mais, si l'on considère les dates auxquelles, dans les différents pays de l'antiquité, les philosophes grecs, les pères de l'église, les pays  évolués (l'Angleterre, les Etats-Unis, la Bretagne …), mais L'UNE DES DERNIERES. 

    Jean-Jacques Gandini, en 2000, dans la collection Librio, résume le problème, et détruit avec fracas cette légende stupide :

    « Les droits de l’homme n’ont pas surgi, casqués et bottés, de l’esprit de l’homme moderne … Il s’agit d’un long cheminement … On en trouvre la première trace écrite comme dans le code d’Hammurabi, en 1700 avant Jésus-Christ … l’écriture des lois peut d’ailleurs être considérée comme une première conquête pour protéger l’individu contre l’arbitraire du pouvoir. »

    Jacques Chirac, en visite à Londres, eut l'audace de déclarer devant Margaret Thatcher, alors premier ministre « Madame, nous pouvons parler d'égal à égal, car la France est le pays qui a inventé les droits de l'homme ». La dame l'a renvoyé, brutalement  : peu cultivé Jacques Chirac  n'avait jamais entendu parler ni de la Magna Carta de 1215 (la grande charte), ni de la « Bill of righs », ni de l'Habéas Corpus. La Grande Bretagne, en matière de droits de l'homme, a six siècles d'avance sur la France. 
    En 2017, Nicolas Sarkosy, lors de sa campagne électorale, déclare encore  : « La France n'a pas fait la solution finale ; la France a inventé les droits de l'homme » (!) Il n'avait jamais entendu parler des projets de la France d'éradiquer la totalité de la population de la Vendée, lors des massacres de l'ouest de la France, dont les 5000 noyades des Bretons de Nantes, et du projet des assassins, dans le droit fil, de supprimer  la population de Bretagne. 

    Les déclarations d'Emmanuel Macron sur la colonisation française sont stupéfiantes : il a appris à l'école que les colonisations sont d'origine occidentale, et que la France est coupable. Erreur gravissime : ce phénomène est non seulement mondial, mais lié à l'espèce humaine ; il existe depuis que les sociétés et les nations sont identifiées. Le même  croyait, il y a encore trois ans, que la Guyane est une île ! 
    A Nantes, il s'est produit un drame : ayant appris – à l'école socialiste, probablement -, que le port breton avait participé au commerce triangulaire, Jean-Marc Ayrault, un super héros, lui aussi,  pour humilier rétrospectivement les Bretons, fait construire un gigantesque mémorial, dépensant 9 millions d'euros puisés dans les poches des contribuables, alors que ce mémorial, s'il y avait matière à l 'édifier, aurait dû l'être avec l'argent d'Alger, de Salé, de Tunis, de Tripoli, du Caire, de Tombouctou, du Sénégal, de Constantinople, de Zanzibar, et autres centres de l'esclavage, impliqués dans les traites humaines bien avant le port Nantais, et pendant un nombre de siècles très supérieur à celui durant lesquels ils ont opéré.

    (Extraits des écrits de Louis Mélennec, ridiculement interdits dans tous les merdias français et bretons, mais publiés partout dans les blogs et à l'étranger).
    De Jacques Chirac, son premier ministre de Villepin dit, devant témoins : "cet homme n'a rien dans la tête; le peu qu'on y trouve, c'est moi qui l'y ait mis". (sic) : bravo les bleus !
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    LES DROITS DE L’HOMME INVENTES PAR LA FRANCE : UNE STUPIDITE RIDICULE. Extraits du Livre Bleu de la Bretagne.


     Par quelle aberration parvient-on à convaincre une partie du monde que cette imposture est la vérité ? Tous savent que les droits de l’homme n’ont pas été créés par un coup de baguette magique, ex nihilo, encore moins par des mains tâchées de sang : elles sont le fruit d’une très longue évolution de l’humanité.
     
    Les premières traces écrites se trouvent dans le Code d’Hammurabi, probablement avant, qui condamne les puissants qui abusent les faibles. Les philosophes Grecs traitent largement de la dignité de l’homme dans leurs œuvres. La phase majeure de l’évolution des droits de l’homme est le message délivré au monde par le Christianisme, qui enseigne, pour la première fois, que les hommes sont frères, que l’humanité est une, que les hommes doivent s’aimer et se respecter, qu’ils ne doivent pas distinguer entre les nations, car toutes doivent obéir aux mêmes principes (« Il n’y a plus de Juifs, il n’y a plus de Romains, il n’y a plus de Gentils ; tous les hommes sont frères », disent en substance Saint Paul et les pères de l’Église). 

    Dans l’histoire de l’Europe, l’Angleterre est l’un des premiers pays, à avoir accordé d’une manière solennelle, par des textes de lois, des garanties politiques et judiciaires à ses citoyens (la Grande Charte date de 1215 ; l’habeas corpus de 1679 ; le bill of rights de 1689 ...). Tandis que les libertés de pensée, de croyance et de parole sont interdites en France, les protestants, sous Louis XIV, vont exprimer la liberté de pratiquer leur religion aux Pays-Bas et dans les Principautés allemandes ; les écrivains et philosophes publient leurs ouvrages à la Haye... La déclaration d’indépendance des Etats-Unis, texte fondamental, publiée en 1776, treize ans avant la révolution française, énonce précisément les principes que la France prétend avoir inventés. Le fameux article premier de la déclaration française, entre autres est un copier-coller de la déclaration américaine de 1776, qui énonce : « tous les hommes sont créés égaux... les gouvernements sont établis par les hommes pour garantir ces droits, et leur juste gouvernement émane du consentement des gouvernés ». 


    Le plus invraisemblable, après la prétendue révolution des droits de l’homme se situe ici. 
    La France organise le mensonge, la manipulation des cerveaux sur une grande échelle. Non seulement elle réussit à scotomiser les crimes commis pendant la révolution, - en particulier à Nantes et en Vendée -, à les faire passer pour négligeables, voire pour des actes glorieux, qui vont lui servir à justifier son roman national, mais elle entreprend de faire accroire que c’est elle qui a inventé les Droits de l’Homme. 
    Des dizaines de millions d’enfants ont appris cela à l’école : je fais partie de ceux dont le cerveau a été lavé et délavé, au point de n’avoir jamais remis en question cette invraisemblance, avant ma vingtième année.
    L’égalité des citoyens devant la loi, la souveraineté du peuple ne sont donc en rien une invention de la France. Plus important, pour nous Bretons, qui avons été si malmenés par ce pays : nos juristes, éminents, dans leurs remontrances aux rois de France, puis dans leurs cahiers de doléances ont exprimé, bien avant la déclaration de 1789, ce que sont les droits des êtres humains, d’une manière fort claire. Mieux : la très ancienne coutume de Bretagne, composée au moyen-âge, contient déjà en germe ce qu’on appellera plus tard les droits humains (Marcel Planiol). En réalité, lorsqu’il s’agit de consacrer dans les lois les libertés fondamentales, davantage encore lorsqu’il s’agit de les appliquer, la France est largement en retard sur les autres pays. 

    Il est aisé de dresser la liste comparative du vote des lois consacrant juridiquement les droits de l’homme dans les différents pays d’Europe et d’Amérique. La Hollande abolit l’esclavage en 1792, la France en 1853 ; le droit de vote est accordé aux femmes en 1917 au Canada, en 1918 en Allemagne, en 1920 en Islande, en 1930 en Turquie ; en France les femmes acquièrent ce droit... en 1944 ! Il en est de même pour toutes les autres libertés (de s’associer, de former des syndicats, de publier ou de diffuser librement, etc.). Dans tous les cas, à de rares exceptions près, la «patrie des droits de l’homme» est largement devancée par au moins plusieurs pays : l’imposture est manifeste. On invente des slogans : l’œuvre de la révolution en faveur des libertés est tellement importante, qu’il est normal de passer sous silence ces « bavures » de la révolution, qui ne sont que bagatelles. «La révolution est un bloc», affirme Clémenceau : le passif doit être négligé, compte tenu de l’immensité de l’actif. L’actif prétendu : l’héritage de la France est un enrichissement incommensurable pour l’univers : la France «a enseigné la Liberté aux Nations» (!) ; en jetant à bas l’arbitraire des rois, elle a apporté le message universel des lumières, et a sorti l’humanité de l’ombre et de l’obscurité : voilà pourquoi elle a le droit de se proclamer le phare du monde.
    Le pays des droits de l’homme, par dérision, est devenu LE PAYS DES DOIGTS DE L’HOMME. C’est ainsi qu’on punit les mensonges.

    Louis MELENNEC, docteur en droit et en médecine, Des de droit public, de droit privé, de droit criminel, DEA d’histoire. (Extraits du LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, téléchargé 300 000 fois). Ce texte est publié dans plusieurs pays.


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    (Article publié en 2020). LA FRANCE A MENTI, ET CONTINUE A LE FAIRE, d'une manière honteuse. NOUS LE SAVONS TOUS. Voici un résumé de la situation ignoble, que madame Suzanne CITRON, agrégée, docteur en histoire, a contribué à révéler aux Français dans son ouvrage majeur LE MYTHE NATIONAL (Paris 1991) :

     » (Après la  » révolution  » de 1789, pendant le 19 ème siècle), les Pères de la République (française), imprégnés d’une RELIGION DE LA FRANCE, ASSIGNERENT à l’enseignement de l’histoire un objectif PATRIOTIQUE : à tous les enfants du pays, majoritairement issus des villages ruraux AUX MILLE PARLERS, seraient inculqués l’amour d’une PATRIE UNE ET INDIVISIBLE, et la foi en la SUPERIORITE DE LA FRANCE. L’historien Ernest LAVISSE fixa, pour les écoles, un texte du passé, organisé autour d’une FRANCE SANS COMMENCEMENT, incarnée dans une Gaule mythique, d’une succession de guerres ET DE CONQUETES LICITES, puisqu’ils construisaient UNE PATRIE PREEXISTANT A SA FORMATION. Les abus de pouvoir servant la grandeur et l’unité de L’ETAT ETAIENT LEGITIMES « .

    (Suzanne CITRON, maintes fois citée comme un auteur de référence – accessible, par la simplicité de son style et la clarté de ses propos, même aux ignares baveurs bretons qui opèrent dans les blogs -, Le MYTHE NATIONAL, Editions ouvrières, Paris page 15, Paris, 1997).
    Ce fut aussi mon travail pour la Bretagne, pas seulement pour la France. Pendant 40 ans.
    Résultat : exclusion TOTALE de tous les merdias, depuis vingt ans. Pas seulement français. Les pires ont été les Bretons, les députeux et les sénateux, mes compatriotes !!! Quelle honte, quel désastre ! (Il est vrai que certains portent un chapeau rond, comme le dit la chanson.) (Le 26. 11. 2020).

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     LA SHOAH BRETONNE de 1793 et 1794. (Texte publié en 2009). 
    En 1789, quelques philosophes, des hommes de lettres, des politiques, rédigent un texte devenu célèbre, sous le nom de « Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen ». En quelques pages concises, ces hommes, résumant les idées de leurs prédécesseurs – qu’ils n’ont en aucun cas inventées -, énoncent et définissent ce que doivent être les droits de tous les êtres humains, sans exception. CE TEXTE EST UN ATTRAPE-NIGAUDS : il recopie à peu de choses près, la déclaration des Etats Unis de 1776, laquelle dit exactement la même chose. C’est une énorme imposture, une escroquerie mentale. Les Français attendent toujours la mise en application de ces principes : en vain.

    Après la mise à mort du roi Louis XVI, en 1793, une répression terrible s’abat sur la partie Ouest de la France, particulièrement la Vendée « militaire », au sud de la Loire, et sur les Bretons appelés « Chouans » au nord. Le Comté de Nantes est rebaptisé «Loire inférieure», appellation particulièrement ridicule, par les révolutionnaires. Ces populations, habituellement pacifiques et accueillantes, sont coupables de se révolter contre les massacres commandités par Paris, de défendre leurs convictions religieuses, de rester fidèles au régime monarchique, et, pour les Bretons, de rester attachés aux Libertés et privilèges de leur Pays, – ce dont ils ont témoigné avec force dans leurs cahiers de doléances, en 1788 et en 1789 -, dont ils ont été sauvagement privés, d’une manière humiliante, par les doctrinaires et les dérangés mentaux qui se sont emparés du pouvoir à Paris…

    Des crimes sans nombre sont commis par les soldats français, sur les ordres réitérés de Paris.
    Les abominations commises dépassent, de loin – non par leur nombre, certes, mais par leur caractère monstrueux -, celles causées par les nazis en Europe.
    Des hommes sont émasculés ; d’autres sont coupés vivants en morceaux ; d’autres sont jetés dans des fours, dans des brasiers, ou dans des chaudrons d’huile bouillante; la graisse humaine est récupérée pour lubrifier les canons, les roues des charrettes, les fusils. Ceux qui cherchent à s’enfuir, ont les bras et les jambes coupés. On introduit des charges explosives dans le corps des individus, et on y met le feu ; les femmes sont violées en série, si possible collectivement, devant leurs familles; on les embroche avec des fourches, alors qu’elles sont vivantes ; mieux : pour empêcher cette vermine de se reproduire, on éclate avec des fusils leurs organes génitaux… Des femmes enceintes sont écrasées sous des pressoirs. Le ventre d’autres femmes enceintes est ouvert, on y met de l’avoine,  on y fait manger les chevaux. Les enfants sont des proies de choix : on les tue, sans pitié, souvent devant leur mère, parfois en les écrasant, comme des insectes (on rapporte un cas atroce : celui d’un enfant au sein, transpercé par la même baïonnette que sa mère, sous les applaudissements des soldats). La peau des hommes est utilisée comme le cuir des animaux : après dépeçage des « brigands » (ainsi les dénomme-t-on, ce qui économise le temps de toute procédure judiciaire), on tanne, on traite, on se sert du cuir obtenu pour différents usages, notamment pour fabriquer des culottes aux officiers français (le musée Dobrée, à Nantes, a conservé l’une de ces reliques).

    Nantes, métropole économique de la Bretagne, qui fut la capitale politique brillante du Duché, en même temps qu’un centre important de la diplomatie européenne, est particulièrement visée. Les agissements du sinistre Carrier, en Loire Inférieure – département éminemment breton , sont restés célèbres : outre les traitements ci dessus, pour gagner en efficacité, on met au point une technique spéciale de noyade, adaptée à la vermine bretonne : on enferme une centaine de malheureux sous le pont d’un bateau, on condamne les sorties, on coule le navire dans la rivière; on perfectionne le procédé : on jette par centaines des habitants, non sans les avoir brutalisés avec une cruauté inhumaine, dans des barges qui s’ouvrent par le fond ; la méthode est rapide, le bateau est récupéré intact, et sert à d’autres exercices ; des hommes et des femmes sont liés ensemble, avant d’être jetés à l’eau, dans des positions souvent impudiques, le père avec la fille, la mère avec le fils : c’est la technique dite du « mariage révolutionnaire »; des noyades pour enfants sont organisées. La Loire est baptisée « baignoire nationale ». Carrier commente, admiratif : « Ah! La Loire ! Quel beau fleuve révolutionnaire ! ».
    Au total, en Vendée, sur une population de 815 000 habitants, 117 000 sont tués : les éléments du crime de génocide, tels que définis par la Convention de l’ONU de 1948, sont réunis (Golnadel, Sécher et Courtois). L’intention prouvée des révolutionnaires de Paris est bien d’exterminer totalement les populations de l’Ouest, et de les remplacer par d’autres populations, jugées en harmonie avec les malades mentaux de Paris.
    En Bretagne, il est malheureusement impossible, pour le moment, d’établir un bilan des disparus, tués, torturés.
    A Nantes, on parle de 4000 à 5000 noyades ; le total des victimes dépasse sûrement plusieurs dizaines de milliers pour tout le pays.

    LA DESTRUCTION DE LA BRETAGNE EST PROGRAMMEE PAR LES CRIMINELS  DE PARIS. 
    Voici maintenant qui constitue pour les Bretons de 2008, une révélation effrayante : le génocide des Bretons est programmé par Robespierre, malade mental avéré, dont le nom orne encore de nombreuses rues, places et divers lieux (travaux de Reynald Secher, communiqués aux auteurs, aujourd’hui rendus publics). Les Bretons d’aujourd’hui doivent peut-être d’exister grâce à l’exécution de Robespierre.

    Parmi les centaines de phrases prononcées par ces dérangés mentaux, on cite volontiers celle de Carrier :

    « Nous ferons de la France un cimetière, plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon ».

    Et celle du général Westermann, passée à la postérité par l’horreur qu’elle suscite, qui commande les armées à Savenay, en Bretagne, en 1793 :

    « Il n’y a plus de Vendée; elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais de Savenay. J’ai écrasé les enfants sous les pieds de mes chevaux, massacré les femmes, qui n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé… Les routes sont semées de cadavres ; il y en a tant qu’en plusieurs points, ils font des pyramides ».

    L’imagination des français dans l’accomplissement des atrocités fait même appel aux ressources de la science. Pour faire plus vite et plus fort, on fait appel à des chimistes : bien avant les nazis, on imagine de mettre au point des gaz mortels. Le chimiste Fourcroy, député à la Convention, est chargé de les fabriquer – afin, dit un humoriste nantais de « tuer les femmes, les chiens et les chats de Vendée et du comté de Nantes, s’il en reste ». Mais les essais échouent. Il faudra donc attendre les nazis pour développer la technique au niveau industriel. Fourcroy a été décoré du nom d’une rue à Nantes ! Jean-Marc Ayrault, maire de Nantes en 1989, n’a jamais eu la velléité de demander sa suppression. Pas plus qu’il n’a évoqué les abominations commises à Nantes sur ordre des malades mentaux de Paris.
    Les bleus, toujours en avance, sont donc des précurseurs, encore un fois, largement.
    On est saisi d’incrédulité lorsqu’on apprend que les criminels nazis, que les criminels cambodgiens, n’exprimèrent, lorsqu’ils furent jugés, aucun remord, aucun regret. Ce qui s’est passé sous l’Allemagne nazie s’est passé en Bretagne et en Vendée : les monstres Robespierre, Carrier, Westermann, mis à mort à leur tour dans la folie meurtrière créée par la révolution, n’ont exprimé que le sentiment d’avoir fait leur devoir. Ces réactions incompréhensibles pour les humains « normaux », sont fréquents chez les criminels : à Nuremberg, les nazis essayèrent de sauver leur peau, mais n’exprimèrent aucun regret.
    La France n’a toujours pas avoué ses crimes en Bretagne. Mais nous les avons dénoncés pour elle, ils sont désormais connus dans le monde entier.

    Tous ces faits sont quasi-ignorés en Bretagne, ils étaient encore occultés, en 2009, lorsque je suis allé les dénoncer à Bruxelles ; ils valent encore à ceux qui les dénoncent des injures. Il y a en Bretagne comme en Vendée, un crime de mémoricide, par la volonté affirmée de la France d’empêcher que la vérité soit dite. Les députés de France doivent d’urgence voter un texte de condamnation sans appel, comme ils l’ont pour les Juifs, les Arméniens, l’esclavage.

    Les armées françaises et les armées turques, par l’horreur des abominations commises, sont à égalité. Les communistes ont été beaucoup plus efficaces, en nombre de victimes innocentes. Mais ils n’ont pas atteint ce degré d’abjection et de cruauté barbare.

    Un adage parcourt la Bretagne, la lâcheté des merdias étant ce qu'elle est : "Les Bretons sont esclaves et fiers de l'être".

    VOIR DANS GOOGLE : LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, téléchargeable gratuitement sur la toile, recommandé par vingt cinq sites dans le monde. 300 000 téléchargements ont été effectués à ce jour. Pas un seul média « subventionné » n’ a dit un mot de cet ouvrage majeur.

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    LA SHOAH BRETONNE. 2014/12/23 . La shoah bretonne : un nouveau concept vient de naitre le drame breton s'exprime enfin par des mots appropriés. 

    To: <ripostelaique@orange.fr>, redacteurs at agoravox. fr <redacteurs@agoravox.fr>
    MESSIEURS CASSEN, CONVERT, CYRANO,

    J'approuve qu'on aime son pays, et qu'on le défende, becs et ongles. Tous les citoyens du monde sont dans cette situation. Le droit d’avoir une identité nationale est sacré : c’est un droit de l’homme. 
    Il serait scandaleux que les Français n'aiment pas la France, qui est pour eux un père et une mère, comme la Bretagne est un père et une mère pour les Bretons.
    Même moi, qui suis étranger en France, j'aime les habitants de ce pays, accueillant et sympathique. Mais je condamne toute atteinte à la vérité historique en Bretagne.
    Vous avez le devoir impératif de ne dire que la vérité. Et de corriger les sottises que vous avez dites sur la Bretagne.

    SARKOSY : "La France a inventé les droits de l'homme ( 2007, discours du Trocadero)" : RIDICULE. La France est la dernière dans ce domaine parmi les Etats civilisés, elle  A FAIT REGRESSER les droits de l'homme, et elle continue !


    http://blog-louis-melennec.fr/2016/07/19/le-genocide-breton-les-crimes-contre-lhumanite-perpetres-par-la-france-en-bretagne/

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    Louis Melennec. LETTRE OUVERTE A JEAN-LUC MELENCHON. (2016). Lettre de Louis Mélennec, publiée un peu partout, sur le pays des NON-DROITS DE L'HOMME. (Texte publié en 2016, largement diffusé par des médias étrangers, notamment en Suisse et en Kabylie).

    Bien cher monsieur Mélenchon,

    Vous vous êtes signalé il y a peu, au moment du soulèvement des Bonnets rouges, par des propos peu amènes sur les Bretons - que vous ne connaissez pas -, les traitant notamment de "nigauds", et de sujets "manipulés par le grand capital", ou quelque chose de ce genre.

    Avez-vous jamais essayé de manipuler un Breton - je ne parle pas des députés et des sénateurs, qui obéissent au doigt et à l'oeil ? Ils sont payés pour cela. Si oui, vous avez, sûrement, éprouvé bien du plaisir.
    Vous avez proclamé, aussi, que la langue bretonne est la langue de la collaboration, pour refuser qu'elle soit reconnue. Opinion hardie, si l'on sait que les citoyens de votre pays ont collaboré par millions jusqu'en 1944, et que c'est le chef de l'Etat français, qui a serré la main de Hitler à Montoire - personnage qu'il détestait d'ailleurs, et qu'il n'aspirait qu'à tromper -; précision étant faite qu'aucun Allemand ne parlait breton, et que la collaboration s'est faite exclusivement en français ! Les Bretons n’ont guère collaboré. Ils se sont tournés vers ceux qui leur offraient leur aide pour sauver leur langue en voie de destruction par les œuvres de la France : si vous aviez été un homme intelligent, vous sauriez cela.

    Vous trouverez ci-joint le film-interview réalisé par la Pravda le 19 septembre 2016 sur la Bretagne, colonie de la France depuis cinq siècles :

    https://www.youtube.com/watch?v=IVvOXJYpm3E

    Pour nos lecteurs, je vous rappelle ma bonne lettre du 29 juin 2015, diffusée sur la toile : ils s'en réjouiront, les Bretons n'aiment pas qu'on se moque d'eux, sort qu'ils partagent avec de nombreux autres peuples qui ont été persécutés, et qui sont encore honteusement bafoués.

    http://blog-louis-melennec.fr/2015/06/29/melenchon-jean-luc-heros-breton...

    Vous êtes plus bête que méchant. Comment en vouloir à une bête ?

    J'ai entrepris de vous rééduquer. On me dit que le processus a produit ses effets, et que vous propos sont désormais plus mesurés. Au moins sur la Bretagne. 

    Il reste encore à réaliser le grand déballage de la SHOAH bretonne. Nous n'en sommes qu'au début. Quoi que fassent les imbéciles, ils ne peuvent empêcher que cela se propage dans le monde entier. Cela prend tournure : notamment en Turquie, en Russie, en Ukraine, au Canada, dans les pays de l'Est, et tous ceux auxquels la France, qui a tant à se reprocher, en particulier  par ses génocides en Bretagne, en Vendée, au Cameroun ..., s'est permise de faire la morale ....

    Le roman de LA FRANCE QUI A IN VENTE LES DROITS DE L'HOMME : c'est fini et bien fini. Je suis l'auteur du concept du PAYS DES NON-DROITS DE L'HOMME. 
    Enfin, la vérité sur cette imposture éclate.

    Comment un pays comme la France a-t-il pu se comporter d'une manière si sotte, inventer tant d'inepties, et penser qu'un jour la vérité n'éclaterait pas au grand jour ? Il aurait suffi de raconter l'histoire telle qu'elle s'est passée, et de la condamner, avec une extrême fermeté encore.

    Et comment avez-vous pu embaucher des complices en Bretagne, qui acceptent de diffuser vos  sottes doctrines sur les droits de l’homme ?
    Votre pays est gouverné par des brêles et des pieds nickelés, c'est une tradition chez vous; ce gouvernement est conduit par le capitaine d'une équipe de pédalos : l'expression est de vous, un grand bon point, donc : dans ce domaine, tous sont d'accord avec votre analyse.

    Au fait, savez vous que le mot "collabo" a changé de sens en Bretagne ? J'ai contribué à cette évolution.  Désormais, ce sont les députeux et les sénateux que nos jeunes appellent ainsi, car tous sont maintenant au courant de la véritable histoire de la Bretagne, mais ils continuent à percevoir leur pension mensuelle, fort élevée si l’on tient compte de leur totale inutilité.

    La présente va figurer dans les lettres ouvertes publiées par le site "Bretagne, culture, histoire", et dans le site intitulé "Les bonnes paroles du bon docteur Mélennec". Exclu de tous les merdias totalitaires, ledit docteur est largement diffusé sur la toile.


    VOTRE BIEN SYMPATHIQUE DOCTEUR MELENNEC, dit "le bon docteur". 29 septembre 2016

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    (Lettre publiée en 2020). DROITS DE L'HOMME . LA PRETENDUE DECLARATION DES DROITS DE L’HOMME SELON LA FRANCE. 

    En 1789, la France publie à son de trompettes une « Déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen », et fait accroire qu’elle a « inventé » les droits humains (sic),  qu’ « elle a apporté la liberté au monde » (!) Cette « Déclaration » est une supercherie absurde. C’est un texte philosophique, bien écrit, mais jamais appliqué, autrement que comme un instrument de propagande mensonger, un « fonds de commerce ». Les principes qui y sont énoncés, l’ont été, très longtemps auparavant, dans les mêmes termes, par l’Angleterre et d’autres pays, la Hollande et les Etats Unis notamment. 

    Les droits de l'homme sont une très lente conquête de l'humanité, étalée sur plusieurs millénaires. Les prémisses des droits de l’homme sont énoncés dès l’antiquité, dans le code d’Hammourabi, dans les lois de Cyrus le grand, et dans d'autres textes, dont certains sont encore à découvrir. 

    Le message du Christ est le grand tournant mondial des droits de l’homme. La Magna Carta a été promulguée en Angleterre en 1215, le Bill of Rights dans le même pays en 1689. La « révolution » française, même si elle a aboli, en théorie, les privilèges des nobles et du clergé, a substitué à ceux-ci une autre aristocratie : celle de l’argent. Elle n’est en réalité qu'une suite de massacres, de spoliations, et de corruptions au bénéfice des plus mauvais, des plus corrompus (parmi lesquels Barras, Talleyrand, Fouché, et autres rebuts de l'humanité …). Les régimes corrompus qui se succèdent à partir de 1789 ne sont en rien plus libéraux que la monarchie capétienne, au moins jusqu’en 1870. 

    Il fallait être stupide pour faire de cette période dite « révolutionnaire » les bases de la religion nationale française : les Français l’ont fait : bravo les Bleus, toujours en tête du peloton !
    La France, pays des droits de l’homme ? Les violations de ces droits par la France depuis 1789, se comptent par centaines, sinon par milliers ; elles sont régulièrement dénoncées par les instances internationales. 
    En tous cas, ce pays n’est sûrement pas celui des droits de la femme ! Les Bretons connaissent l’égalité de l’homme et de la femme avant Jésus-christ ; la femme française, mineure juridique jusqu’à ces toutes dernières années (obéissance obligatoire à son mari, interdiction d’exercer une profession sans l’autorisation de son mari, interdiction de posséder une compte bancaire ….  n’obtiendra le droit de vote qu’en 1944, après des combats épuisants, et bien après les autres pays civilisés. La femme ne retrouve ses droits, que la société bretonne lui reconnaissait avant le Christ, qu’aux approches de l’an 2000 ! Belle société que la civilisation française, ! 
    Les dégâts commis par le colonisateur français en Bretagne en cinq siècles sont colossaux, incalculables, abyssaux. 

    Les Bretons, écrit l’écrivain Herbert Pagani, sont les Juifs de la France. Ce que confirme Hazo Nétanel, président de l’association Bretagne Israel : 

    « Je suis toujours avide des leçons d’histoire du docteur Mélennec ….. Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays ! C’est un miracle qu’il soit toujours debout. La France est en faillite morale, intellectuelle, elle éclatera du fait des différentes communautés qui la phagocytent … C’est une chance pour les peuples premiers de France. Les nouveaux médias changent la donne. Vos recherches étaient mises au ban, elles sont maintenant publiées. »

    En savoir plus : https://bretagne-culture-histoire.webnode.fr/news/ce-peuple-breton-qui-veut-legitimement-vivre-sa-culture-sa-langue-dans-son-propre-pays/

    Jusqu’à présent, en l’absence d’enseignement de notre histoire, la recherche étant volontairement stérilisée par les complices qui détiennent le pouvoir dans nos facultés, et dont la stratégie marxiste consiste à mentir volontairement, presque tous en Bretagne l’ignoraient. Ce temps est passé ; en 2020, il ne reste plus rien de la légende des droits de l’homme créés par la France. D’avoir contribué largement à la destruction des mensonges de la France, et contribué à rendre aux Bretons leur Dignité, est ce que j’ai fait de mieux dans ma vie. De 1789 à aujourd’hui, les Bretons ont été victime d’un énorme lavage des cerveaux, l’un des plus radicaux et des plus cruels de l’histoire de l’humanité. C’est avec raison que les jeunes bretons qualifient aujourd’hui de  « collabos » – pire : de kapos, c’est à dire de garde-chiournes – ceux qui affichent extérieurement des sentiments bretons, et se font élire ou nommer dans des fonctions à grasses prébendes, jouant en toute impudeur le double jeu.

    La France a MENTI, outrageusement, quant au rôle qu’elle prétend avoir joué dans l’épanouissement des droits de l’homme. Elle n’a RIEN FAIT : comme ces minables  » résistants  » de la dernière heure, qui, en 1945, ont exécuté des innocents sans être jugés – il y en eut de très nombreux en Bretagne, et des plus méprisables. Elle fut, depuis des siècles, précédée dans cette voie en Europe par l’Angleterre, la Hollande, bien d’autres Etats , qui ne sont pas encore identifiés clairement, elle a suivi, puis a exploité, sans scrupules, ce que d’autres ont découvert, énoncé et, enfin, appliqué.
    J’ai recherché, avec patience, les dates auxquelles l’esclavage a été aboli, le droit de grève, le droit d’association, le droit de divorcer, le droit de vote accordé aux femmes ………. Le résultat est spectaculaire, péremptoire et sans appel : elle est bonne dernière des Etats occidentaux dans PRESQUE TOUS LES DOMAINES. Elle est l’un des Etats européens les plus condamnés par la Cour européenne des droits de l’homme. Marcel PLANIOL, le plus grand juriste breton,  a écrit que le droit médiéval de la Bretagne contient en germe les droits de l’homme, ET QUE L’INTERVENTION BRUTALE DE LA MONARCHIE FRANCAISE A TOUT DETRUIT. Nous devons, lorsque nous rédigerons notre constitution, nous montrer exemplaires : nous le pouvons, nous possédons au moins quelques hommes et quelques femmes qui ont une morale stricte, le sens de l’intérêt général, et qu’aucune forme de pression ou de corruption ne fera fléchir. (Je ne pense pas à ces gens qui ont vendu la Loire Atlantique à la France en 2014, car ils finiront leur vie en prison).
    Tous ces principes, qui relèvent de la morale universelle, ont été exposés, sans aucune forme de lassitude, pendant des années, notamment lors des nombreuses émissions organisées par Claude REICHMAN, sur le thème de la justice, et les rares médias ouverts aux dialogues de fond, et non de l’encartement dans des partis totalitaires, ou l’obédience servile à tel parti politique, ou à tel intérêt matériel catégoriel  …………


    (Pour mémoire : Lettre de Louis Mélennec au Médiateur de la République française. Et encore : Lumière 101 Claude Reichman reçoit Louis Mélennec : cette émission a été supprimée par la censure).


    MELENNEC DROITS DE L'HOMME,  THEORIE DES NATIONS;  travail au noir, Etat voyou.   https://www.youtube.com/watch?v=4MAURsQlJsA

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    ARTICLES PUBLIES EN 2020 : LA LANGUE BRETONNE EST CONDAMNEE A MORT PAR LA FRANCE, QUI JOUE LA MONTRE : CE QUI VA ARRIVER A LA LOI MOLAC

    Voici comment fonctionne la France, pays des doigts de l'homme pour éliminer un problème qui le gène :

    1 - Lorsqu'un problème devient préoccupant - à cause des manifestations populaires, des démarches des médias, des députeux, des sénateux, etc ... -, on fait voter une LOI, qui feint de donner satisfaction à la population et aux réclamations qui ont fusé de longue date, ou avec violence. On brandit la loi, en criant : voyez, nous sommes des démocrates !!!! Et bla-bla-bla et bla-bla-bla ....
    2 - Cette loi N'EST PAS APPLIQUEE.
    3 - Si la population continue à manifester et à réclamer, AU BOUT DE PLUSIEURS ANNEES, on sort enfin les décrets d'application. Il faut se battre pour cela !
    MAIS ILS NE SONT PAS APPLIQUES.
    4 - Si enfin les décrets sont publiés, on s'arrange pour les diffuser le moins possible, pour en retarder l'application, pour les DENATURER;
    5 - Il existe plus de dix moyens pour les laisser sans application. Consultant à la médiature, candidat aux fonctions de Médiateur, j'ai passé des ANNEES à observer ce qu'est la prétendue "démocratie" française : une filouterie exceptionnelle. Ce fut l'une de mes préoccupations pendant la préparation de ma candidature.

    UN EXEMPLE SCANDALEUX : LES EMPLOIS AU NOIR DE L'ETAT.
    L'Etat viole d'une manière HONTEUSE ses propres lois sur la règlementation du travail.
    J'ai suivi ce dossier pendant quarante ans. Le problème des malversations de l’État français était connu depuis 1950.
    J'ai réussi à faire voter une loi, après des années d'efforts épuisants.
    Elle n'a pas été appliquée.
    J"'ai réussi à faire sortir les décrets. 
    Ils n'ont pas été appliqués.
    J’ai perdu mes emplois, d’une manière évidemment illégale.
    J'ai poursuivi mes deux employeurs : Martine Aubry et le ministre des transports Gayssot. A ce duo brillant, j’ai ajouté madame Guigou.
    Tout cela a été relaté par la presse, car à l’époque, je n’étais pas encore exclu des merdias.
    La Cour de justice A REFUSE d'instruire le procès !!!!!!!!!!!!!!
    J'ai eu une longue séance de travail, en 1995, sur ce thème avec les journaleux du "Monde", alors dirigé par Plenel, et domicilié rue Gay-Lussac : pas un mot de Plenel  sur ce problème. Mais aussi avec les présidents des chambres sociales du Conseil d'Etat, de la Cour de cassation, du Conseil économique et social. Et avec les conseillers de Jacques Chirac, à l'Elysée.
    Bravo la France, inventrice des doigts de l'homme !

    EN 2015, Christiane TAUBIRA passe aux aveux : le seul ministère de la justice emplois 40 000 personnes au noir, malgré cette lutte de 40 ans, les innombrables démarches auprès des sénateurs, des députés, des chefs des partis, du procès intenté à Martine AUBRY, Ellisabeth Guigou, et autres. Voyez les articles publiés par Internet. 


    LOUIS MELENNEC, docteur en droit, ex-consultant près le Médiateur de la république, candidat à sa succession en 1998, DES de droit public, de droit privé, de sciences criminelles (droit pénal). Sur la toile : mélennec emplois au noir 

    https://www.youtube.com/watch?v=4MAURsQlJsA&ab_channel=LesavaistuBreton%3F

    http://www.site.louis-melennec.fr/medecinsaunoir.htm

    Prévisualiser la vidéo YouTube Travail au noir, État voyou.

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    ARTICLE PUBLIE EN 2002, ET REPUBLIE DEPUIS. LA JUSTICE EN FRANCE, LE BEAU PAYS DES DROITS DE L'HOMME,  QUI DONNE DES LEçONS DE MORALE AU MONDE ENTIER. 

    CET ARTICLE  a été publié par  FRANCE INTER, en 2002, mais il a été rapidement supprimé. Par prudence, vues les mœurs de la bonne république, on l'avait copié !
    (Le bon docteur est interdit de s'exprimer par la voie des médias, depuis cette époque, et depuis qu'il a poursuivi Martine Aubry devant la cour de justice de la république : les merdias bretons sont complices, bien entendu, car ils sont achetés).
    Malgré l'effroyable censure française, quelques bribes de vérité paraissent. France Inter a publié ce long commentaire de Louis Mélennec sur la Justice française, dans une lettre qu'il adressa en 2002, au juge Duchaine sur la crapulerie de l'Etat français.
    Comment le bon François Mitterrand a échappé à la justice . 

    L'AFFAIRE LUCHAIRE, : quand le Chef de l'Etat échappait à la justice Par Jean-Philippe Deniau
    Après la condamnation de Jacques Chirac dans l'affaire des emplois fictifs à la Mairie de Paris, après la mise en cause de Nicolas Sarkozy dans un des volets de l'affaire Bettencourt, on apprend aujourd'hui que François Mitterrand a échappé de peu à une enquête judiciaire qui aurait pu le mener au tribunal : l'affaire Luchaire.
    Tout commence le 28 février 1986 à Cherbourg. Ce jour-là, la Presse de la Manche révèle une affaire de trafic d'armes entre la France et l'Iran de l'Hayatollah Khomeiny. La société Luchaire aurait affrété 3 cargos bourrés d'obus à destination, non pas du Brésil et de la Thaïlande comme l'indiquaient les bons de livraison, mais vers l'Iran, contournant ainsi l'embargo avec, certainement, la complaisance des pouvoirs publics français et même, peut-être, l'accord du Président Mitterrand. A l'époque, il y a bien eu une enquête judiciaire pendant 2 ans, mais le journaliste Thierry Lévèque raconte aujourd'hui dans le magazine Crimes et Châtiments, qu'une note écrite du Garde des Sceaux de l'époque, Pierre Arpaillange, a conduit le juge d'instruction, via le Procureur de Paris, à signer en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, une ordonnance de non-lieu. Car à l'époque, contrairement à ce qu'on pourrait s'imaginer, c'était certainement plus simple pour le pouvoir politique d'étouffer une affaire, constate Thierry Lévèque.

    LA JUSTICE EN FRANCE : Louis MELENNEC confirme ces accusations, FONDEES SUR L'EXPERIENCE : Commentaire à propos de l'émission de France Inter, le 23 juin 2015, Extrait de son blog « Actualités et politique »

    UN ETAT MAFFIEUX, auprès duquel les Siciliens et les Napolitains ne sont pas même des ENFANTS de CHOEUR : LA FRANCE, « inventrice » des DROITS DE L’HOMME .  

    EN 2002, le bon docteur écrit la lettre qui suit à M. CHARLES DUCHAINE, juge au tribunal de grande instance de Bastia (Corse), ex-juge d’instruction de la Principauté de Monaco, alliée de la France, à l’occasion de la publication de son livre « Juge à Monaco » (Michel Lafon, 2002). M. Charles Duchaine, qui a occupé les fonctions de Juge d’instruction de la Principauté de Monaco, de 1995 à 1999, a publié chez Michel Lafon, dans le courant de l'année 2002, un ouvrage qui fait sensation, sous le titre « Juge à Monaco ». Tiens donc ! A Monaco aussi ? La gentille principauté du  prince Albert, de Caroline et autres vierges ? Trafics en tous genres, blanchiment d’argent, corruption, impossibilité de poursuivre ou d’inquiéter les puissants, etc. Dans le cadre du feuilleton des « médecins au noir », et du colloque qu'il doit présider au Sénat en 2003 – sur la Justice, précisément - le docteur Mélennec réagit et lui écrit, dès la publication de l'ouvrage, la lettre que voici ; rendue publique, bien entendu  : __________________________________________________

    MONSIEUR LE JUGE DUCHAINE,

    Nous sommes de plus en plus nombreux à souhaiter que la lumière soit faite sur le fonctionnement de nos tribunaux – toute la lumière -, dans ces affaires glauques et malsaines qui mettent en cause les puissants du jour. Des juges ont « cafté » (enfin !), ont répondu aux journalistes, et ont publié des livres. Nous savions tout cela depuis longtemps ; mais quiconque aurait parlé s’en serait repenti : l’appareil répressif se serait abattu sur lui avec férocité, et l’aurait broyé. Chacun courbait l’échine, tout en ayant honte, tous les matins, de se regarder dans la glace.

    Des travaux (très partiels ) ont été publiés sur les exactions du prétendu Président MITTERAND, quant aux interventions personnelles quasi- quotidiennes dont il se rendait coupable, pour infléchir le cours de la Justice. C'est-à-dire pour absoudre les coupables, et pour condamner les innocents. Rien n’échappait à la sagacité de ce brave homme – oh combien honnête ! – tout l’intéressait : non point seulement les tribulations, manoeuvres et entreprises douteuses de ses adversaires comme de ses amis politiques, non point seulement les affaires pénales, mais aussi les divorces, les faillites, les adoptions, les permis de chasse, les accidents de la voie publique, du travail, domestiques, les pensions civiles et militaires, les redressements fiscaux et les vérifications à diligenter, etc. Les nominations dans les hauts postes de responsabilité étaient à l’avenant : non pas dictées, comme le croyait le menu peuple, selon le mérite et la compétence des impétrants, mais chaque fois que cela était possible, en fonction des services rendus, de la complicité ou de la proximité politique, de l’aptitude, surtout, à rendre service chaque fois qu’on en aurait besoin. Ainsi vit-on – parmi d’innombrables exemples -, désigner en qualité de membre du Conseil supérieur de la magistrature, un « ami dont la loyauté (sic) nous sera totalement acquise », plutôt que tel autre, « d’un dialogue assurément plus difficile (re-sic) ». Des hommes éminents, intègres, d’une rigueur intellectuelle et d’une honnêteté irréprochable, furent sacrifiés par dizaines à l’insatiable appétit des nouveaux maîtres du pays.

    Les traces écrites de ces interventions en tous genres ont, par bonheur, été conservées, du moins pour un certain nombre d’entre elles. Pour les affaires les plus importantes, elles se sont déroulées, sans témoins, sous les lambris des palais nationaux, loin des témoins indiscrets et compromettants.

    Qu’il y ait eu de la crapule au sommet de l’Etat français ne surprend personne : c’est chose ordinaire dans la « démocratie » française, le pain quotidien dont s’alimentent nos élus.
    Mais comment comprendre, comment admettre à l’autre bout de la chaîne, que l’appareil judiciaire lui-même ait pu fournir des complices pour accepter de jouer ce jeu répugnant ? Comment imaginer que l’Elysée ait pu adresser un bordereau au directeur de cabinet du ministre de la Justice pour « souligner que la requérante est une relation de M. le Président de la République » et « qu’il y a lieu d’attirer sur cette affaire l’attention de M. le procureur général » ? On frémit d’horreur en lisant de telles abominations, qui ont été légion au cours des deux dernières décennies, parmi quelques myriades d’autres, dans tous les rouages de l’Etat et de l’administration.
    Les procureurs généraux savent-ils qu’en infléchissant la justice en faveur du coupable, on condamne l’innocent à sa place ? Bien sûr ! C'est précisément le but de ces opérations ! Peut-on, si cela se produit, trouver le sommeil la nuit ? Mais bien sûr, c'est tellement apaisant ! Et les cons d'en face : voyez la tête qu'ils font  !
    En matière de justice, les socialistes n’ont de leçons a donner personne. M. Amaud de Montebourg, à cet égard, devrait se montrer beaucoup plus discret.
    Je recommande à ceux qui lisent la présente lettre, de sécuriser l'article publié dans le journal le Monde, relatant les travaux de M. Alain Bancaud, sur les interventions de François Mitterrand dans le fonctionnement de la justice : cette sorte d'articles est publié pour donner le change d'une presse démocratique ; mais le « système » les élimine peu à peu, car ils sont compromettants. Ils peuvent dire alors : mais si, mais si ! Nous avons publié tout cela ! Voyez notre numéro de telle date, page 26 !

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    (ARTICLE PUBLIE EN 2010). LA FRANCE EST LE PAYS DES NON-DROITS DE L’HOMME. ELLE N’A JAMAIS ETE LE PAYS DES DROITS DE L’HOMME. TRENTE ANS QUE JE L’ENSEIGNE. ENFIN, D’AUTRES AUTEURS SE LANCENT DANS L’AVENTURE.

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    LE NATIONALISME FRANCAIS : UNE IMPOSTURE ACCOUCHEE PAR LA VIOLENCE . LE NATIONALISME BRETON : UNE ASPIRATION LEGITIME A VIVRE ENSEMBLE, NEE DE L’HISTOIRE D’UN PEUPLE IDENTIFIE DEPUIS L’ANTIQUITE.

    On prête à Charles de Gaulle d’avoir écrit la sottise qui suit : « le patriotisme c’est aimer son pays, le nationalisme c’est détester celui des autres ».
    Cela se peut-il ? Pourquoi pas. Il en a écrit bien d’autres. Par exemple : « La France vient du fond des âges » (!). Ses connaissances sur l’origine de la France étaient quasi nulles. Mieux, celle-ci lui est aussi prêtée : « La France est la France; elle a un passé; elle a un présent; elle a un avenir » (!). Génial, lumineux : ne dirait-t-on pas du Bossuet à la petite semaine, ou un jour de pluie ?

    Nous avons souvent parlé du problème des Nations, et de ce que jadis on appelait » sentiment national « , aujourd’hui qualifié de SENTIMENT D’APPARTENANCE – en raison de la pollution des termes » nation » et » nationalisme « , par des insuffisants intellectuels incultes, ignorants de l’histoire réelle, mais intoxiqués par quelques faux aphorismes de la doxa française, à quoi se résume tout leur savoir. Ceux là n’ont vu dans les nationalismes que le côté agressif, monstrueux, destructeur de certains d’entre-eux (l’Allemagne nazie, le Japon de l’entre deux guerres, la Russie soviétique, la Chine totalitaire actuelle, la Corée du Nord ….), alors qu’il existe, bien plus souvent, des nationalismes pacifiques, qui se bornent à se réclamer de ces droits humains fondamentaux, consacrés par le droit international : l’appartenance à son peuple, l’amour légitime de son pays, le droit de parler sa langue et de pratiquer sa culture, de se gouverner, de transmettre ses valeurs….. Toutes choses aujourd’hui reconnues et proclamées par les Chartes des Droits Fondamentaux, y compris par les constitutions des pays les plus violents contre leurs propres citoyens, qui ne peuvent mettre obstacle à leur introduction dans leurs propres textes, même s’ils les violent allègrement tous les jours.
    Ces principes fondamentaux du vivre ensemble sont encore, pour les nations soumises par la France en 1789, ignorés et bafoués par ce pays, situé à l’Est du nôtre, qui se targue–horresco referens – d’avoir inventé les droits de l’homme, mais qui viole allègrement toutes les Libertés publiques, quotidiennement, dont l’une des principales : le droit de s’exprimer librement.
    Avec d’autres auteurs nous avons démontré que, de ce point de vue, le nationalisme français, non pas celui des rois, mais celui des régimes construits au cours des décennies qui ont suivi la Grande, l’Universelle, la Magnifique » révolution » de 1789 – que l’on appelle en Bretagne la shoah bretonne -, rasant, abrasant, détruisant tout – les langues, les cultures, les histoires locales, dont plusieurs authentiques histoires nationales, celle de la Bretagne en particulier -, a été l’une des plus bêtes et des plus cruelles du monde civilisé ….. (Livre bleu de la Bretagne, téléchargeable gratuitement par Google, diffusé aujourd’hui dans plus de 100 pays dans le Monde, recommandé par trente sites internet en France et à l’étranger, sauf par les merdias du pays des droits de l’homme).
    La religion nationale française, enseignée dans les écoles pendant plusieurs générations après 1789, aujourd’hui, démasquée, fait figure de vieillerie ridicule et absurde : notre compatriote breton Alfred JARRY, l’inventeur de la machine à décerveler, n’aurait pas osé assumer une pareille invention.
    LE NATIONALISME FRANCAIS : L’ECRASEMENT DES AUTRES CULTURES. LE NATIONALISME BRETON : UN MOUVEMENT DE LIBERATION NATIONALE.
    C’est au nom de ce nationalisme français méprisant, arrogant, orgueilleux, stupide, en un mot, que les quelques centaines de Bretons qui ont fait l’honneur à leur pays de porter haut les couleurs de leur culture, au prix de leur liberté, de leurs carrières, parfois de leur vie, ont été persécutés, jusqu’à ces trente dernières années. A SUIVRE.

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    (2015). ARTICLES PUBLIES DANS CENT PAYS . LA FRANCE N'A JAMAIS ETE LE PAYS DES DROITS DE L'HOMME : A CHACUN SON TOUR D'ÊTRE HUMILIE. LES BRETONS ONT BEAUCOUP A DIRE, et quoi que l'on fasse, ils ne décrocheront pas.
    Environ 33 800 000 résultats (0,38 secondes) (vous avez bien lu : plus de 33 millions de résultats.
    La Bretagne a été annexée en 1532, par un acte camouflé en un faux traité. Une longue colonisation, a suivi, jusqu'en 1789, année durant laquelle s'est produite une « révolution », ridiculement dénommée par les Français jusqu'à ces dernières années comme la révolution des droits de l'homme.25 mai 2015

    COMMENT LES BRETONS SONT DEVENUS FRANCAIS ...blog-louis-melennec.fr › 2015/05/25 › 
    Comment les Bretons sont devenus francais ! La shoah bretonne de 1675 : les armées francaises en bretagne : un carnage abominable. La révolte du papier timbré ...
    IDBE - Breton ...bibliotheque.idbe-bzh.org › document › id=comment-l...
    l'IDBE vous propose le document «Comment les Bretons sont devenus francais !» en consultation et téléchargement libre.


    LES INTERVENTIONS DE CE BON FRANCOIS  MITTERRAND DANS LE DEVOIEMENT DE LA JUSTICE EN FRANCE.
    Nos lecteurs vont être PASSIONNES par ces extraits du rapport d'Alain Bancaud sur les interventions - très fréquentes, et nullement anodines -, de François Mitterrand dans le "fonctionnement" de la justice :

    " La volonté de contrôle politique de la justice s’exprime également au travers des interventions "fréquentes et variées" du président dans les affaires en cours. "Leur champ d’action semble quasiment sans limite, note Alain Bancaud. Elles concernent des affaires aussi bien pénales que civiles, commerciales, disciplinaires, de droit du travail. Des affaires traitées aussi bien par la Cour de Cassation et un parquet général qu’un petit tribunal de province et un juge des enfants. Des affaires politiques aussi bien qu’ordinaires et privées." A côté de la Corse et des dossiers mettant en cause des hommes politiques, on trouve des affaires de survie d’entreprise, de divorce et de garde d’enfants, de permis de chasse et de conduire, de mariages posthumes, d’expulsion et de banqueroute...

    Les interventions du président peuvent "survenir aussi bien après la publication d’un article de journal qu’à la suite de requêtes de particuliers et d’interventions d’hommes politiques, d’associations, d’organisations syndicales, d’avocats, qui agissent en leur nom propre ou pour appuyer une demande d’élécteurs, d’affiliés, de militants, de clients". Il y a parmi eux des amis - notables ou inconnus -, des ministres, des parlementaires, des élus ou anciens élus du PS, des mères de famille, des simples salariés, des dirigeants d’organisations nationales ou des responsables d’associations locales aux buts les plus divers et variés.

    La nature des interventions de la présidence est variée : "Elles vont, note le sociologue, d’une simple demande de renseignements sur l’état d’une instruction, les motifs d’une inculpation, les raisons d’un non-lieu, la position qu’entend prendre un parquet..., à des demandes d’instructions à donner." Il y a des interventions générales qui se bornent à rappeler certains principes de politique pénale, mais aussi des interventions particulières qui, "même si la présidence manifeste le souci de ménager l’autorité de la chancellerie et manie l’euphémisme, sont parfois formelles et quasi-impératives".

    Un bordereau adressé au directeur de cabinet du ministre de la justice se conclut ainsi : "En soulignant que la requérante est une relation de M. le Président de la République, et en vous priant de bien vouloir envisager d’attirer sur cette affaire l’attention de M. le procureur général." Ou encore, dans une lettre d’un conseiller de l’Elysée à un ministre : "Je me propose de parler de cette affaire au procureur de la République afin que les réquisitions à l’audience aillent dans le sens d’une peine amnistiable." François Mitterrand a également demandé, par deux fois, de sanctionner des substituts ayant tenu, à l’audience, des propos virulents contre des immigrés. Pour l’un d’eux, une note du conseiller de président précise : "Le garde des Sceaux m’a indiqué qu’il ne voulait prendre aucune mesure à son encontre, car [à l’audience] la parole est libre, mais qu’il veillerait à ce que ce substitut soit sanctionné dans sa carrière."

    Pour Alain Bancaud, ce "pouvoir sur la justice" institue le président de la République "en ultime recours, en juge suprême". "Le paradoxe de la gauche, conclut le chercheur, c’est finalement d’avoir à la fois renforcé des ressentiments, des révoltes, en conservant un système de contrôle et d’intervention et d’avoir élargi les possibilités et la légitimité de ces contestations en favorisant l’affaiblissement de la déférence d’Etat et de la hiérarchie qui permettaient jusqu’ici de tenir les juges."

    Cécile Prieur, journaliste au journal LE MONDE.
    Il est important de préciser que M. Robert Badinter a été ministre de la justice de François Mitterrand de 1981 à 1986. Le proverbe ne dit-il pas : « Qui se ressemble s’assemble » ?

    Le Monde du 23 juin 1999.

    LE PRESENT TEXTE EST DIFFUSE DANS CINQUANTE MEDIAS, et adressé à cinquante acteurs de notre lamentablissime vie politique, qui détruit la France.

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