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Gouarnamant Breizh da C'hortoz/Gouvernement provisoire de Bretagne - Page 9

  • PAS DE LIBERTÉ POUR LES ANTI- JACOBINS !

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    Quatre ans de prison ferme requis, pour avoir seulement exprimé ses opinions sur un site nationaliste ? Diable ! Dans quel monde vivons-nous ? De façon paradoxale, dans celui du pays des Droits de l’homme qui proclament le droit fondamental à la liberté d’expression.

    Une peine, une sanction digne des pires crapules … Pour s’être fait le porte-parole de ce peuple silencieux, à qui l’on impose sans l’avoir consulté, une politique de remplacement de population , par des jets continus de migrants clandestins ne partageant en rien nos mœurs, notre culture et notre tempérament.

    Boris Le Lay peut se targuer aujourd’hui d’être la victime expiatoire de cette politique cosmopolite et française, qui entend terminer le travail d’anéantissement entrepris par les politiciens républicains de jadis, après l’éradication de notre foi ancestrale et la destruction de notre langue nationale.

    Nous savons ce que recouvrent les qualifications pénales du genre « Incitation à la haine raciale », « Provocation à la discrimination », destinées à interdire tout débat sur la question de l’immigration, et provoquer l’autocensure chez les esprits libres qui n’entendent pas avaler des couleuvres. Tout cela, au nom d’une philosophie universaliste qui n’a jamais fait les affaires des autochtones, mais toujours celles des cosmopolites.

    Nous savons ce que valent les condamnations pour ce motif, qui n’épargnent personne, ni même des prélats ayant servi toute leur vie durant, des populations africaines, comme Mgr Lefebvre quand celui-ci alerta ses contemporains sur les dangers de l’islam conquérant.

    Quant à l’auteur de l’article du quotidien « Ouest-France » du 8 juin, qui déclare « Boris Le Lay aura-t-il un jour le courage de ses opinions » ? On peut lui rétorquer que, quel que soit l’avis que l’on porte sur les écrits de Boris Le Lay, celui-ci a le courage d’exprimer ses opinions publiquement, ce qui lui vaut des condamnations qui, elles, ne seront jamais amnistiées, et une interdiction de revoir sa terre natale sous peine d’emprisonnement, c’est-à-dire un tribut que peu de personnes consentiraient à payer.

    Pour quelle raison d’ailleurs Boris Le Lay devrait-il se présenter devant les Tribunaux, quand il sait que son sort est déjà réglé d’avance ? Aller mettre sa tête dans la gueule du loup socialo-jacobin, quel serait le profit pour lui-même et la cause du peuple qu’il défend ? De surcroit, ce serait reconnaître la légitimité d’une institution française que l’accusé dénie autant par principe que par cohérence, dans ses écrits successifs.

    C’est aussi courir le risque d’une mort opportune dans les prisons françaises peuplées de djihadistes affirmés ou en devenir. Et, c’est lui interdire de continuer à exprimer ce que de plus en plus de Bretons pensent tout bas aujourd’hui. Ce serait tout bénéfice pour ses adversaires politiques qui sont aussi les nôtres.

    Drôle d’époque, tout de même, où il vaut mieux être un fiché S qu’un blogueur nationaliste breton.

    Vive la Bretagne, quand même !

    Jakez GWILLOU

  • LE PEUPLE EST SEUL SOUVERAIN : LES DECISIONS EN MATIÈRE D'IMMIGRATION RELÈVENT DE LA SEULE COMPETENCE DE LA POPULATION.

    LOUIS MELENNEC, docteur en droit, ex-enseignant des facultés de droit

    Les "députés" et les "sénateurs ne sont que les délégués temporaires et conditionnels du peuple de Bretagne. Ils n'existent QUE par cette volonté populaire, et seulement pour servir le pays, à l'exclusion de toute autre chose.

    Les Bretons sont propriétaires indivis de leur pays - les Français aussi -, à l'exclusion de toute autre institution ou personne.

    Dans l'état présent des choses, les contingents d'immigrants sont fixés sur ordre du gouvernement, relayés par les préfets. Ces derniers donnent des ordres aux maires, qui ne sont en rien consultés, pas davantage que la population.
    Ces procédures sont très gravement attentatoires au droit constitutionnel des citoyens de décider seuls de leur destin.
    Il n'y a, ni en France ni en Bretagne de racisme ou de discrimination à l'égard des populations étrangères, ou même d'appartenance à d'autres cultures, pour autant que celles-ci professent des valeurs identiques aux nôtres - notamment quant à l'égalité stricte de l'homme et de la femme, qui est déjà un dogme dans la société bretonne avant le Christ. Le phénomène raciste est universel, il n'existe chez nous qu'à la marge, en particulier dans mon pays natal, la BRETAGNE.

    Depuis des dizaines d'années, des idéologues criminels, par l'effet d'une sottise abyssale, ont manipulé les consciences, sous prétextes de racisme, d'esclavagisme, de colonialisme, imputant ces trois phénomènes, strictement UNIVERSELS, aux seuls occidentaux. Ces imbéciles patentés ont même nié, jusqu'à ces toutes dernières années, qu'il puisse exister un racisme anti-blanc, car étant les seuls coupables, ils ne peuvent l'être !!!
    La seule solution conforme au droit, à la morale, à la Dignité éminente des êtres humains : rendre au peuple, dans le respect de tous les êtres humains, le droit de se prononcer, par voie de référendum, sur le sort qu'il souhaite pour l'avenir de sa propre société.

    LOUIS MELENNEC, licencié et docteur en droit, diplômé d'études supérieures de droit public, de droit privé, de sciences criminelles, ex-consultant près le Médiateur de la république française, consultant international, historien des droits de l'homme et des sociétés.

    Cette note juridique est diffusée sur plusieurs médias, quelle que soit la volonté de certains d'entre eux d'imposer leur logique totalitaire, totalement déconnectée de toute réalité et de tout réalisme.

    LIRE sur la toile : Mélennec, racisme, esclavage, colonialisme.

  • La Bretagne en marche: En Avant !

     

     

     

    « La France en marche ! …la république en marche  » : Rien de nouveau.

    Un slogan similaire avait été déjà lancé en 1933 par le PNB pour sa brochure:

    « En avant ! La Bretagne en marche . Un écrit qui n’a pas vieilli car exposant

    des arguments encore valables aujourd’hui à l’encontre du régionalisme.

     

    Source : http://bibliotheque.idbe-bzh.org/data/cle_federaliste/cle_mi-janvier_2016/cle_pnb/En_Avant__la_bretagne_en_marche_.pdf

    Site : http://www.gouarnamant-bzh.eu/