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  • Marine Le Pen: ses 144 propositions, notamment sur l'Europe et les réformes institutionnelles

    Marine Le Pen a présenté 144 propositions, un projet présidentiel qui s’articule au travers de sept grands thèmes : une France libre, une France sûre, une France prospère, une France juste, une France fière, une France puissante, une France durable.
    La lutte contre l’immigration, la sécurité, la préférence nationale en matière économique et sociale, et la sortie de l’Union européenne et de l’euro sont au coeur de ces thèmes.
    Marine Le Pen a promis 60 milliards d‘économies, mais de nombreuses mesures n’apparaissent pas financées.
    Elle a néanmoins publié un chiffrage de son programme, le lien est ici.

    L’Europe

    C’est inscrit en préambule aux réformes institutionnelles françaises. Avant toute chose, Marine Le Pen veut la souveraineté (monétaire, législative, territoriale, économique) qu’elle pense perdue pour le pays dans tous ces domaines. Elle entend pour cela, entamer des négociations avec les autres Etats membres de l’Union européenne pendant six mois environ, et puis organiser un référendum national sur l’accord obtenu ou sur l’appartenance à l’Union européenne. Dans ce cas, un Frexit serait possible.

    Mais elle ne met plus en avant la sortie de l’euro, aucun détail ne figure quant au retour de cette souveraineté monétaire, si ce n’est, à un moment, “le rétablissement d’une monnaie nationale adaptée à notre économie”.
    On sait que depuis le Brexit, alors même que les Britanniques n’avaient pas l’euro, mais la livre sterling, les prix à la consommation ont augmenté outre Manche… Et les éventuelles solutions aux problèmes d’inflation ou de perte de valeurs de l‘épargne des Français ne sont pas évoquées.

    Réformes institutionnelles

    D’abord, Marine Le Pen annonce la couleur en promettant d’organiser un référendum en vue de réviser la Constitution et de conditionner toute révision future de la Constitution à un référendum en élargissant la possibilité d’avoir recours à ces référendums.

    Marine Le Pen est favorable au retour du septennat pour le mandat présidentiel, mais non-renouvelable.

    Elle veut mettre en place le scrutin proportionnel à toutes les élections. Pour l’Assemblée nationale, la proportionnelle serait intégrale avec une prime majoritaire de 30 % des sièges pour la liste arrivée en tête et un seuil de 5 % des suffrages pour obtenir des élus.

    Et elle compterait réduire le nombre de députés à 300 (contre 577 aujourd’hui) et le nombre de sénateurs à 200 (contre 348 aujourd’hui).

    Elle voudrait aussi ne conserver que trois niveaux d’administration : communes, départements et Etat. La Région disparaîtrait.

    Marine Le Pen met en avant les économies réalisées, car cela voudrait dire la disparition de près de 2 200 élus. Elle dit vouloir revaloriser le rôle et le statut des maires.

     

     

  • Communiqué: l'urgence est là

     

    Le Gouvernement Provisoire de Bretagne en exil a pris fait et cause pour Marine Le Pen.

    Ce n'est pas une décision personnelle mais collective du Gouvernement Provisoire de Bretagne et généralement des indépendantistes bretons. Cela bien sûr nous a valu quelques noms d'oiseaux, mais que représente cette opposition?

     
    L'essentiel c'est d'inverser cette politique mortifère de l'immigration. L'élément déclencheur a été la venue à Tregastel d'une trentaine de migrants logés aux frais de la municipalité (c'est à dire moi et les autres) dans un camp de vacances. Ils sont partis aujourd'hui, mais ils reviendront certainement, ou d'autres et ce sera la même chose.
     
    Comment peut-on se glorifier d'appartenir à la race celtique et à la nation brittonique si en même temps on accepte des migrants sur notre terre?
     
    L'urgence est là, faire en sorte que les Européens restent encore majoritaires en Europe dans les décennies à venir, et ce n'est pas gagné! Donc voter sans trop d'états d'âme pour la "rose bleue", même si sur d'autres points on peut être en désaccord. Les vieilles querelles sont pour l'instant dépassées : c'est une simple question de survie biologique...
     
    Gouarnamant Breizh da C'hortoz
  • NOUS NE SERONS PAS LES DERNIERS BRETONS !

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    Jakez Guieysse

    La littérature mettant en scène les derniers représentants de peuples menacés de disparition, existe fort heureusement grâce à des auteurs enracinés. Tel Jean Raspail ou Emile Souvestre dont l’ouvrage « Les derniers Bretons » interpellait déjà chacun de ses compatriotes, en 1836 sur leur devenir existentiel. Sur ce point capital, nous avertissons que nous ne nous résignerons jamais à devenir  les  derniers Bretons.


    Car nous ne partageons en rien le fatalisme des peuples du désert. Pas plus que nous ne croyons au sens marxiste de l’histoire. Pour nous, ce qui fait l’Histoire, selon notre conception celte et chrétienne, c’est la volonté des hommes, c’est leur foi en une croyance qui les transcende. Seule une transfusion d’une ampleur criminelle pourrait mettre un terme, à l’existence de notre nation, si les maîtres de l’internationalisme financier poursuivaient leur œuvre de « Grand remplacement » sans rencontrer d’obstacle.


    Et, c’est précisément pour stopper cette course à l’abîme, qu’il n’est plus question pour les gens sensés de chez nous, de se retrancher dans une tour d’ivoire, dans l’attente des jours meilleurs.


    Dans l’immédiat, il nous faut parer au plus pressé, en apportant notre soutien PONCTUEL aux présidentielles à Marine Le Pen : la seule personne susceptible de nous sortir non de l’Europe, car celle-ci n’a pas attendu le plan Marshall pour exister, mais de l’Union Européenne qui en est le masque grimaçant et funeste. Une Union européenne qui, rappelons-le, fut la création de la Finance anonyme et vagabonde d’expression anglo-saxonne, par l’entremise d’agents d’influence US dont les plus connus sont Robert Schumann et Jean Monnet.


    Or, si dans les décennies qui suivirent, les laquais au service de la ploutocratie n’ont pas manqué de sévir, ils manœuvraient en coulisses. Aujourd’hui, leur arrogance s’étale au grand jour, puisque l’un d’eux occupe le devant de la scène politique : Emmanuel Macron.


    Nul doute que l’agent Macron sera le très zélé collaborateur de cette UE qui nous prépare l’arrivée supplémentaire de 6 millions d’extra-européens. C’est donc bel et bien notre mort, notre disparition par submersion que les autorités de Bruxelles et ses valets, actent pour l’édification d’un monde unitaire voulu par les financiers de Wall Street et de la City.


    L’imminence du péril nous ordonne, nous, Bretons, de participer au combat commun avec tous nos frères européens, qu’ils soient de Paris, Berlin, Budapest ou Moscou. Nous ne pouvons nous sauver seuls. Ce serait une tactique suicidaire au regard de l’enjeu civilisationnel qui nécessite une hiérarchisation des priorités, pour emporter la décision finale. Il s’agit donc de défendre bec et ongles, notre EUROPEANITE, aujourd’hui, pour vivre pleinement notre BRETONNITE, demain.


    Oui, il nous faut voter. Car toute abstention de notre part, à ce moment opportun, constituerait une complicité objective avec les tenants du mondialisme qui œuvrent à notre sortie de l’Histoire.


    Face aux fossoyeurs des peuples, nous devons répondre « PRESENT » !